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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

de bonnes infos sur www.allodocteurs.fr

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-moins-d-un-francais-sur-cinq-meurt-a-son-domicile-12764.asp?1=1

Seule une faible proportion de Français meurt chez eux ou en maison de retraite, indique une enquête de l'Institut national d'études démographiques (Ined) publiée le 3 mars 2014.

Selon ces travaux, près de sept hommes sur dix et six femmes sur dix décèdent à l'hôpital.

Cette enquête, réalisée en 2010, analyse les parcours de fin de vie au cours du dernier mois de l'existence.

Elle révèle que quatre semaines avant le décès, vivre à son domicile est de loin la situation la plus fréquente.

Comme l’observe l’Ined, "plus on approche de la mort, plus le maintien à domicile se raréfie au profit de l'hospitalisation".

Ainsi, en un mois, la proportion de personnes hospitalisées fait plus que doubler et le jour de leur décès, 68,7% des hommes et 59,1% des femmes se trouvent à l'hôpital.

Le maintien à domicile (ce terme étant entendu "hors résidences partagées et maisons de retraite") connaît le sort inverse : seuls 20% des hommes et 16,3% des femmes meurent chez eux, selon l'Ined.

La part de résidents en maisons de retraite reste davantage stable au cours des dernières semaines de vie, mais avec de fortes différences entre les sexes: 23,4% des femmes décèdent en maison de retraite, alors que c'est le cas pour seulement 10,5% des hommes.

Le départ de l'hôpital pour regagner le domicile ou la maison de retraite est exceptionnel. Moins de 4 % des personnes font ce trajet (2, 3 % vers leur domicile et 1,3 % vers la maison de retraite) et très rarement durant la dernière semaine de vie (0,6 %).

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-fin-de-vie-mieux-prendre-en-compte-les-dernieres-volontes--8336.asp?1=1

déjà en octobre 2012 !!!

Respecter le choix du patient quand il n'est plus en état de s'exprimer, c'est dans ce but que le législateur a prévu la directive anticipée.

La loi Leonetti autorise une personne majeure à consigner ses volontés, pour limiter ou arrêter un traitement et éviter un acharnement thérapeutique.

Il doit pour cela rédiger un document ou faire appel à deux témoins, s'il ne peut plus écrire.

Ce "testament" thérapeutique est valable pour une durée de trois ans et peut être complété ou révoqué à tout moment.

Mais ces directives anticipées ne sont en aucun cas contraignantes.

Cela signifie que le médecin peut aller à l'encontre de la volonté du patient, notamment lorsque de nouveaux traitements changent le pronostic vital.

Aujourd'hui, les directives anticipées sont encore très peu utilisées car peu de malades en connaissent l'existence.

Or le poids des traditions médicales ne favorise pas toujours l'écoute du patient.

Jean Leonetti, l'instigateur de la loi de 2005 sur la fin de vie, souhaite que les directives anticipées deviennent plus contraignantes.

Les médecins seraient alors obligés de les respecter, sauf dans quelques cas très particuliers.

mon commentaire:

pas de cas particuliers, directives anticipées opposables, celui ou celle qui a fait l'effort de les écrire mérite le respect.

chaque citoyen majeur devrait rédiger ses directives anticipées et nommer par écrit sa personne de confiance

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