Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

des médecins aident à mourir

http://modern-paper.blogspot.fr/2015/02/interview-exclusive-bernard-senet.html

extrait:

Bernard Senet (médecin qui a aidé des patients à mourir):

L'AIDE À MOURIR S'APPLIQUE SI
le patient en a fait la demande écrite et répétée, et s’il persiste dans sa décision.
S’il n’est plus en mesure d’exprimer sa volonté, la personne de confiance antérieurement nommée doit le demander à sa place (pas de personne de confiance de dernier moment, qui pourrait avoir un intérêt affectif pour que cesse une souffrance, ou pire vénal).
Il faut qu'il présente une maladie évolutive incurable ou un état stable de dépendance rendant sa vie insupportable.
Si le patient est inconscient et n'a pas de directives anticipées, c'est plus compliqué (on le voit avec le cas de Vincent Lambert par exemple), sauf si on obtient un accord de toute la famille sur ses volontés antérieures.
C’est pour cette raison qu'il faut généraliser la rédaction des directives anticipées, d'autant que cela ne fait pas mourir. Dans certains cas, les gens sont même plus confiants et se battent mieux.
Actuellement, des aides actives sont pratiquées mais leur clandestinité ouvre la porte à toutes dérives.
En pratique, la majorité des médecins sont consciencieux et agissent en s'entourant d'un maximum de précautions,
mais beaucoup reculent devant le risque juridique et LAISSENT DES PATIENTS SOUFFRIR.
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article