QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"
24 Février 2015
23-02-2015
voir texte et commentaire en pdf.
Ces directives ne seront donc pas libres de choix pour la personne !
Je ne veux pas de sédation « terminale », je veux qu'on m'aide à mourir très vite et sans souffrance lorsque le moment sera venu et je ne pourrai pas le dire ???
Liberté interdite.
Suicide aidé interdit, même aux confins de la vie (mort).
Nul ne demande de « tuer » = acte violent contre la personne et son envie de vivre.
L'aide éventuelle à mourir n'est demandée aux médecins que lorsque la mort est déjà présente, en cours, par la nature des choses.
Il s'agit seulement de laisser la fin de vie s'allonger , durer, ou de la raccourcir.
Fin de vie qui peut ne pas être « l'agonie » dès lors que la qualité de vie est incurablement disparue, en particulier dans le cas de maladies de dégénérescence ou de comas prolongés.
Aucune violence dans ce cas, seulement écoute et compassion.