fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
28 Mars 2015
2 choses importantes:
côté médecins:
apprendre aux médecins qui ne le font pas
à respecter les volontés et les convictions philosophiques sur leur vie de leurs malades,
sachant qu'on s'adresse à son médecin référent,
ou à un autre médecin qui nous connait et en qui on espère pouvoir avoir confiance,
mais qu'on peut subir un médecin suite à un envoi en hôpital en urgence, médecin qui ne nous connait pas et en qui on peut ou non avoir confiance
apprendre aux médecins que la mort n'est pas leur échec, mais la loi de la nature, même si parfois ils peuvent retarder l'échéance avec profit. .
côté citoyens lambda:
apprendre à tous les citoyens que la vie induit la mort, par essence,
et que la médecine a suffisamment montré les preuves d'un acharnement inhumain et d'un désintérêt pour les souffrances morales en particulier, pour essayer de s 'en défendre:
par la loi certes, mais aussi par le contrôle de la loi,
et par le fait que chacun peut et devrait écrire sa façon de voir la vie et la mort, la sienne, pour se voir respecter le moment voulu.
la loi actuelle légalise les directives anticipées écrites mais ne donne pas encore le droit d'être respecté: pas étonnant que nul ou presque ne les ait écrites!
loi ignorée souvent, mais pourquoi donc écrire un papier dont on pourra ne pas tenir compte?
la loi doit faire que ces directives deviennent opposables au médecin, sans exception.