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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

QUE D'ERREURS DE SENS POUR DES MOTS: euthanasie, suicide assisté, sédation "terminale"

QUE D'ERREURS DE SENS POUR DES MOTS IL EST VRAI MAL UTILISÉS PAR TROP DE GENS, non définis par la Justice, dont les sens multiples courants rendent toute discussion impropre sur le sujet

DONT CEUX QUI SONT OPPOSES A LA LIBERTE DE MOURIR DES PERSONNES, MEME EN FIN DE VIE OU EN GRANDES SOUFFRANES INCURABLES ;

DONT TROP DE MEDECINS FANATIQUES DE LA VIE A N'IMPORTE QUEL PRIX (moral et financier : combien vaut la prolongation abusive d'un homme ou d'une femme ? nul ne veut aborder le problème, pourtant épineux, dont il faudra bien discuter un jour : la « Science » coûte très cher pour des résultats plus qu'incertains, et est trop souvent réservée aux riches, mais son coût est aussi en grande partie payée par la collectivité (sécurité sociale)

http://www.courrier-picard.fr/region/fin-de-vie-ce-que-les-francais-veulent-c-est-qu-on-ia0b0n565598

extraits :

La loi avance aussi le principe de la sédation profonde et continue.

Quelle différence avec l’euthanasie ou le suicide assisté qui restent interdits ?

« Le suicide assisté consiste à fournir un produit en auto-administration, pour une personne autonome dans ses gestes. C’est autorisé en Suisse. »

NON :

L'AIDE DONNÉE EN SUISSE EST UN ACCOMPAGNEMENT de la personne en SOUFFRANCES INCURABLES, qui souhaite mourir dans son sommeil, pour METTRE FIN À SES SOUFFRANCES (morales et/ou physiques), AVEC QUELQU'UN À SES CÔTÉS pour lui tenir la main au dernier moment de vie.

Il ne s'agit pas de vendre un produit létal à n'importe qui.

Il ne faut pas laisser dire n'importe quoi !


« Pour l’euthanasie, c’est un tiers qui agit dans le but de causer la mort immédiate. »

NON

L'EUTHANASIE EST UNE FORME DE SUICIDE AIDÉ pour celui ou celle qui ne peut plus prendre lui(elle) même le produit nécessaire à mourir vite et dans son sommeil.

DÈS LORS QUE CETTE INTENTION DE MOURIR VIENT BIEN DE LA PERSONNE EN TRAIN DE MOURIR et non pas d'un médecin.

Nul médecin ne doit pratiquer une euthanasie sur quelqu'un qui n 'a pas écrit cette volonté dans ses directives, mais pourquoi refuser le soulagement de la mort à celui ou celle qui le veut ?

C'EST MA LIBERTÉ DE CHOISIR MA MORT !

LE SUICIDE EST UNE LIBERTÉ RÉPUBLICAINE ! JE REFUSE QU'ON ME L'INTERDISE !

L’euthanasie est considérée comme un meurtre pénalement.

CAR LA DÉFINITION DE CE MOT N'EXISTE PAS EN JURIDICTION PÉNALE NI CIVILE. CHACUN PEUT DONC L'INTERPRÉTER À SA FAÇON.


« Avec la sédation, il s’agit chez des personnes en stade terminal de provoquer une altération de la conscience maintenue jusqu’au décès. Le but premier n’est pas de donner la mort, mais d’extraire la personne de la souffrance. »

OUI, MAIS : comment peut-on savoir ce qui se passe dans le cerveau d'un médecin ?

Où est la limite visible entre l'intention de donner la mort, et l'intention de soulager les souffrances ? (je ne parle pas de « douleurs physiques », mais bien de souffrances, qui inclut les souffrances morales)

IL EST BIEN ÉVIDENT QUE LES DEUX S'ENTREMÊLENT :

ON AIDE À MOURIR, MAIS LA MORT VIENT DU MAUVAIS ÉTAT DE SANTÉ DE LA PERSONNE,

NUL NE DONNE LA MORT, ce n'est pas un meurtre = action violente contre la volonté du sujet,

PARCE QUE LA PERSONNE LE RÉCLAME INSTAMMENT, LE RÉPÈTE INLASSABLEMENT, L'A ECRIT DANS SES DIRECTIVES parce que c'est sa philosophie de vie, pour laquelle elle a droit au respect, en toute laïcité.


« Dans les services de soins palliatifs, personne ne demande l’euthanasie »

C'EST FAUX,

DANS LES SOINS PALLIATIFS BELGES LES DEMANDES D'EUTHANASIE SONT PLUS GRANDES QU'AILLEURS (MORT VOLONTAIRE – volonté du patient- AIDÉE),

EN FRANCE, CEUX QUI RÉCLAMENT LA MORT SONT VITE RÉDUITS AU SILENCE FAUTE D'ÉCOUTE.

IL Y EST MALSÉANT DE DIRE QU'ON VEUT MOURIR.

Quelques rares médecins pratiquent une sédation assez rapide (quelques jours) pour soulager la personne, faute d'autre moyen légal, puisque l'idéal des soins palliatifs est d'empêcher le plus longtemps possible la mort d'advenir.

« N’est-il pas temps que LES FRANÇAIS SE PRENNENT EN MAIN EN EXPRIMANT LEUR DIRECTIVE ANTICIPÉE, davantage qu’aujourd’hui (2,5 % de la population) »


OUI ÉVIDEMMENT !!!

on ne peut pas à la fois reprocher aux médecins de ne pas respecter nos volontés et ne pas les écrire pour un médecin hospitalier qui sera chargé de nous par hasard et ne nous connaîtra pas.
Tous les Français majeurs doivent penser à leur fin de vie qui pourra être naturellement bonne ou mauvaise selon leur propre éthique, et selon l'acharnement des médecins
.


« L’Assemblée compte beaucoup de médecins opposés à cette pratique, perçue comme contraire à leur éthique »

OUI MAIS, MALHEUREUSEMENT, ils ne se préoccupent pas de l'éthique de leurs clients !!!

La médecine sera-t-elle faite pour les médecins ou pour les malades et mourants ?

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