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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

loi leonetti/clayes, retour vers le députés: écrivez vos directives!!!

directives anticipées indispensables, quelle que soit la loi future!!!

elles sont déjà légales depuis 10 ans,

ne pas utiliser un droit amène à le perdre...

qu'y mettre?

votre philosophie de vie:

  • la mort volontaire est impensable pour vous
  • ou au contraire, c'est un moyen honnête de choisir sa vie jusqu'au bout

être aidé à mourir:

  • non, merci,
  • ou au contraire, oui, je veux être accompagnée et aidée pour ne pas avoir une fin de vie pénible, ne serait-ce que moralement et qui n'en finit pas...

demander l'acharnement médical en cas de miracle, ou pour aider la recherche scientifique?

oui, mais qui doit payer? la sécu, la collectivité, ou ceux qui le demandent?

quant à demander l'abandon de soins sans aucun effet autre que prolonger artificiellement la vie, et demander de soulager la souffrance par sédation, quitte à ce que cela raccourcisse la vie (ce n'est pas sûr),

c'est simplement demander qu'on applique la loi!

doit-on vraiment en démocratie, demander qu'on applique la loi??? et

pour ceux, certes rares, qui veulent privilégier une interruption volontaire de vie, aidée ou non,

il est indispensable de l'écrire, même si la loi ne le permet pas encore, sinon, qui le saura?

directives anticipées indispensables

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J
LETTRE OUVERTE : un modèle de Directives Anticipés.<br /> <br /> Voici mes directives anticipées qui deviendront donc appropriées quand je serai incapable de communiquer d'une manière ou d'une autre.<br /> <br /> 1) ***<br /> Ma conception de la dignité consiste à lutter jusqu'au bout dans les conditions de survie les plus extrêmes, les plus artificielles et les plus désespérées. La notion de situation dégradante est située en dehors de mon univers mental.<br /> <br /> Résister à la torpeur permanente et pouvoir garder une chance d'atteindre une bref éclair de lucidité sont pour moi plus importants que le soulagement des douleurs ou autres symptômes. Je ne souhaite donc pas de sédation et encore moins de sédation profonde.<br /> Sur le plan physique, en cas de douleurs réfractaires, je fais confiance à mes soignants pour chercher à les atténuer par des doses d'antalgiques les plus réduites possible.<br /> Ne pas se laisser impressionner par mes plaintes et gémissements pour en conclure que les soins entrent dans la catégorie des souffrances intolérables.<br /> Pour ce qui concerne mes souffrances morales et mes souffrances psychologiques : ne pas s'en préoccuper.<br /> <br /> 2) ***<br /> Il va de soi que je n'ai aucune objection contre n'importe quelles formes de traitements ou de techniques artificielles.<br /> <br /> 3) ***<br /> Pour définir l’obstination déraisonnable et l'acharnement thérapeutique chaque médecin place le curseur où il veut. En conséquences ne pas faire confiance à l'avis d'un seul médecin, ou aux avis des personnes susceptibles d'être influencées par lui, quand ils décideront d'arrêter mon traitement de survie. Vérifiez que ma ration journalière d'eau ne soit jamais restreinte.<br /> <br /> 4) ***<br /> J'autorise la diffusion publique sans aucune condition restrictive de toutes les images ou vidéos sur lesquelles je serais visibles.<br /> <br /> 5) ***<br /> Pour la raison que les administrations, associations, juridictions énumérées ci-après, ont clairement exprimé ou manifesté certaines conceptions inquiétantes qui sont opposées aux miennes ; pour ce qui viendrait à me concerner :<br /> Je voudrais que personne ne tienne compte des avis, arrêts, ou condamnations du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, du Conseil d'État, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales du Conseil de l’Europe, de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité...<br /> <br /> Jean Daniel Reuss, Rebais le 6 Juillet 2015.
Répondre
J
chacun a le droit d'exprimer ses volontés et elles ne regardent que lui même
J
C'est parfait pour vous, donc pour moi aussi, cela ne concerne que vous même