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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

suicide et aide

http://www.admdblog.fr/Poursuites-pour-non-assistance-a-personne-en-danger-en-cas-d-aide-au-suicide-l-hypocrisie-des-pouvoirs-publics_a3166.html

Enfin, l'admd se décide à dire que le suicide n'étant pas un délit, y aider ne peut pas être pénalisable,

ce qui signifie qu'on pourrait aider ouvertement et non pas en cachette si l'intéressé/e le veut...

voilà 10 ans que je le répète! non écoutée....

l'aide au suicide n'est demandée à un tiers que dans le cas d'un mal de vivre permanent et incurable, jamais autrement.

mal de vivre qui vient soit de la fin de vie: on est en train de mourir, soit de survie médicalisée qui devient insupportable.

mais beaucoup de français considèrent encore le suicide comme honteux, ce qui n'a pas de raison d'être,

lorsque la vie devient une souffrance permanente, morale d'abord, incurable, pourquoi condamner celui ou celle qui veut mourir?

ceux qui malheureusement se suicident sur un coup de tête ne demandent rien à personne...

ceux là sont souvent contents lorsque leur tentative de suicide rate, quand ils n'ont pas tout fait pour la rater... (suicide-chantage qui existe)

ceux qui veulent vraiment mourir recommencent jusqu'à réussir leur suicide si par malheur pour eux, on les a récupérés.

ils ne demandent pas toujours de l'aide parce qu'ils savent que dès qu'on parle de mort, trop de gens se sauvent... aucune écoute...

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C
Lire la dernière phrase. Attention en interprétant la loi. En France, il y a encore la notion de non-assistance à personne en danger qui est inscrite dans la loi et je ne pense pas que cette notion ait été enlevée. Là, je me pose une question : en cas de plainte devant un tribunal, quel serait le verdict des tribunaux ? La personne qui serait aidée et qui aurait toutes ses facultés mentales pourrait-elle être aidée par une tierce personne et cela en toute légalité ? Je ne sais pas .<br /> http://fr.wikipedia.org/wiki/Non-assistance_%C3%A0_personne_en_danger<br /> "La liberté individuelle est souvent résumée par cette formule reprise par les juridictions françaises : « La liberté est la règle, la contrainte l'exception ». On peut donc se poser la question si l'on doit obliger la personne à agir et même si on peut obliger une personne à être secourue alors qu'elle ne le veut pas".<br /> "La loi française ne permet pas de soigner une personne contre son gré (art. L.1111-411 du Code de la santé publique), mais encore faut-il que la personne soit en mesure d'exprimer son consentement et que celui-ci ne soit pas faussé (personne en pleine possession de ses facultés mentales). Ainsi, laisser agir une personne menaçant de se suicider sous prétexte que c'est sa volonté engage notre responsabilité pénale."
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J
La non assistance relève d'un "danger", danger de quoi? de mort en général, suite à accident, ou suicide: tentative ou volonté déterminée depuis longtemps, pour des raisons diverses, qui ne regardent normalement que la personne. <br /> <br /> s'il s'agit d'accident ou de tentative de suicide (non raisonné, sur un coup de tête, suite à "dépression" guérissable), évidemment on doit essayer de "sauver" la personne. <br /> <br /> mais lorsqu'il s'agit de personnes déterminées depuis longtemps de mettre fin à leurs jours parce que leur vie ne leur permet plus de respecter leur éthique, leur dignité, de quel droit doit-on les soigner de force? <br /> qui ont écrit depuis longtemps dans leurs directives que telle est leur philosophie de vie: la mort volontaire comme la plus belle des morts, comme chez les grecs anciens et bien d'autres populations (japonais et autres). <br /> elles sont alors pleinement conscientes et responsables de leurs actes. <br /> <br /> tous ceux qui ont subi l'empêchement de leur suicide préparé vous diront leurs souffrances, et ils ont tous recommencé jusqu'au succès de leur suicide, par n'importe quels moyens, même les plus horribles:<br /> comme ces vieux, vieilles qui s'étranglent avec leurs draps en EHPAD, puisque c'est le seul moyen qui leur reste, ou celui qui est mort d'avoir avalé le produit vaisselle (accident, ont dit les medias, en est-on sûr? probablement suicide)...puisque même la défenestration est empêchée partout par des barreaux aux fenêtres, ou des fenêtres qui se bloquent, parce qu'elle était trop fréquente! <br /> <br /> "on" pense trop vite que le jugement des personnes est faussé, par quoi? parce qu'ils veulent mettre fin à leur vie? <br /> pourquoi serait-ce interdit et par qui? par la loi en tout cas. <br /> <br /> pourquoi dire "menaçant" de se suicider, où est la menace et envers qui? <br /> tout dépend de la façon dont çà se passe, le suicide-chantage (menace) est fait pour ne pas réussir, c'est bien connu, la personne fait tout pour qu'on l'en empêche... c'est ce qu'on appelle le suicide "appel au secours" pour que l'Autre ou la société s'intéresse enfin à moi. j'en ai rencontré un certain nombre. <br /> <br /> dans tous ceux qui m'appellent au secours en espérant que je leur donne "la" recette pour mourir (comme s'il y en avait une! tout dépend des cas), la plupart sont calmés par l'écoute et sont prêts à se soigner pour ne plus souffrir, car c'est souvent la souffrance physique qui les gêne, incurable, quoique parfois on puisse la soulager, mais surtout <br /> <br /> la souffrance morale de constater qu'aucun médecin ne les écoute. <br /> <br /> wikipedia n'est pas forcément la meilleure référence, puisque cette encyclopédie est remplie par des personnes comme vous et moi, sans contrôles autres que les controverses au sujet des textes.