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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

Regard sur notre France et la santé des citoyens

EN CES JOURS OÙ LE SÉNAT REGARDE À NOUVEAU UNE PROPOSITION DE LOI CONCERNANT LES RARES DROITS DES PATIENTS DANS LE SYSTÈME PUBLIC DE SANTÉ, QUI NE VONT PAS AUGMENTER,

je m'interroge:

 

La sécurité sociale doit-elle encore participer à la main-mise sur la santé d'une médecine officielle qui coûte très cher, sans que son comportement ne soit contrôlé:

  • scandales réitérés avec des médicaments ordonnés sans questionnement des médecins,
  • scandales des fins de vie où sont condamnés médecins et particuliers ayant soulagé les souffrances de vie de personnes mourantes? parce qu'elles sont mortes, ce qui était prévu depuis longtemps, vu leur état de santé.
  • scandales des médecins qui ne veulent pas aller travailler où on a besoin d'eux
  • scandale d'un Ordre des médecins qui prend le droit de condamner un médecin avant même que la Justice ait même fait le travail d'enquête, Ordre (moyen-âgeux, remis en service par Pétain) qui passe donc au dessus des lois républicaines, sans que nul ne le remette en cause...

Je n'ai vraiment plus envie de payer pour un système que je déplore.

 

LA LOI SUR LES DROITS DES MALADES ET DE LA FIN DE VIE EMPLOIE UN VOCABULAIRE DANGEREUX ET SURANNÉ:

il ne s'agit pas des droits des malades, lorsqu'on sait que le mot "malade" exclut de nombreuses personnes dont la santé est pourtant chancelante quand ce n'est pas catastrophique, parce qu'elles ne sont pas victimes d'une maladie officiellement reconnue

il ne s'agit pas des droits des personnes en fin de vie car comment définit-on le début de la fin de la vie? nul ne le sait.

LA LOI DEVRAIT DONNER

« LES DROITS DES CITOYENS USAGERS DU SYSTÈME PUBLIC DE SANTÉ »,

SEUL VOCABULAIRE CORRECT.

 

LA TRANSFORMATION DES ARH EN ARS N'A SERVI À RIEN:

On sépare toujours la santé de l'hôpital et des médecins hospitaliers, de l'environnement,

on sépare toujours les médecins de ville et la médecine hospitalière qui ont de très rares contacts, aucun suivi ou presque dans des sorties d'hôpital de personnes seules par exemple.

 

On parle toujours de maladies au lieu de parler de "santé", la santé venant de l'environnement, de la génétique, du mode de vie et pour très peu de la médecine.

 

Leonetti et autres « pontes » nous disent que « la vie est sacrée », oui, mais laquelle ?

  • vie des vieillards grabataires et déments jusqu'à la fin, sans espoir de retour à une vie acceptable de communication et de mouvement, même minimes
  • vie des comateux à vie qui servent de cobaye à une pseudo-science déifiée
  • vie des malades incurables qu'on entretient dans l'illusion qu'ils ne vont pas mourir, alors que même les gens en bonne santé meurent !

mais tout çà rapporte beaucoup d'argent à certains ! Une manne...

  • pas la vie des soldats
  • pas la vie des civils qui essaient de survivre sous les bombes
  • pas la vie des réfugiés de guerre chassés de partout, ou parqués dans des camps qui ressemblent aux camps de prisonniers de toutes les guerres
  • pas la vie des réfugiés climatiques, ceux dont les habitations sont régulièrement inondées et détruites par les océans qui montent

« la santé (bonne) n'est pas l'absence de maladies mais un état de bien-être physique, moral, et environnemental... » Définition qui fait peur? Je ne la vois jamais à l'hôpital ni dans les cabinets des médecins...

 

Bien peu de nos concitoyens peuvent se targuer d'une bonne santé, dans des environnements de misère sociale en particulier, et ce n'est pas l'abus de médicaments qui leur donnera la santé.

 

Et si on éduquait mieux la population à se prendre en charge question santé, environnement, mode de vie (çà devrait commencer à l'école) ,

la médecine se bornant à essayer de guérir des maladies, de sauvegarder un état de santé sinon bon, du moins acceptable suite à des accidents, soulageant les souffrances morales et physiques, mais cessant de se prévaloir comme apprenti-sorcier

  • d'être capable de tout, de soulager toutes les souffrances morales et physiques: c'est faux,
  • d'être capable avec le transhumanisme d'empêcher les gens de mourir...

et que deviendront nos enfants si les parents ne meurent pas pour leur laisser la place?

 

LES DROITS DES USAGERS DE LA MÉDECINE PUBLIQUE

  • C'est aussi de ne pas s'en servir,
  • C'est de vivre et mourir comme ils le souhaitent, de s'entr'aider, d'utiliser d'autres médecines. C'est d'utiliser la médecine publique allopathique au minimum
  • C'est que le gouvernement ait le pouvoir sur le système médical et pas l'inverse,
  • C'est d'être aidés s'ils ne veulent pas souffrir pour mourir, comme ils le souhaitent, sédation ou pas, suicide ou pas.

 

MAIS SANS DOUTE EST-CE UN VOEU PIEUX?

 

Dans une société capitaliste à fond, où seul le profit gère les relations, où l'humain n'a guère d'importance, où l'être devient une machine ou un outil et perd la considération des autres, on retourne aux temps anciens d'esclavage, de servage, ou de travail trop lourd et mal payé, ou de chômage dramatique puisqu'on ne considère pas que tout être humain pourrait avoir droit à un abri et à manger.

Voyez le refoulement des immigrés de la guerre par tous nos pays occidentaux,

CERTAINS ONT PLUS LE DROIT DE VIVRE QUE D'AUTRES.

Voyez les guerres encouragées par maladresse ou par intérêt?

NON,LA VIE N'EST SACREE POUR PERSONNE

ni les vies humaines,

ni les vies des animaux,

ni la vie des plantes...

dommage!

Et quand ce sera notre tour d'être obligés de partir ailleurs , qui nous accueillera?

 

ET DANS LE MÊME TEMPS,

ON EMPÊCHE NOS VIEUX DE MOURIR !

ON CONDAMNE CEUX QUI LES AIDENT À MOURIR SANS SOUFFRIR OU SELON LEUR VŒU DE MORT VOLONTAIRE!

J'ai honte de notre société...

Je lutte depuis 10 ans pour que le système de santé publique respecte ses citoyens, sans le moindre frémissement de changement, avec des élus bornés ou impuissants...

Je continuerai à lutter pour que chaque citoyen prenne sa vie en mains, sans se soumettre à des médecins plus soucieux de leur carrière et de leur fortune que de la santé morale et physique de leurs patients, pour trop d'entre eux... (il existe encore des médecins humains qui font ce qu'ils peuvent et avouent ne pas tout savoir faire)

Mais je vieillis et je souhaite que d'autres, plus jeunes, prennent la relève.

QUI VA SE LEVER POUR LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE À DES LOIS INIQUES ?

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