QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"
21 Décembre 2015
La formulation de la loi est déjà mauvaise:
Les usagers du système de santé seraient-ils tous "malades" au sens de la médecine? non, évidemment, le mot "maladie" en médecine a un sens très restreint: maladie connue, répertoriée...
La fin de la vie signifierait-elle que les usagers du système de santé publique en fin de vie seraient différents des autres usagers ? Discrimination ? Comment définit-on la fin de la vie ? Nul ne le sait. Est-ce les derniers jours d'agonie, ou est-ce la période des quelques mois voire années précédant la mort où la personne est en mauvaise santé, incurable, sans espoir de retour ?
Mais comme nul ne sait à l'avance la date de sa mort, comment déterminer la fin de la vie avant la mort ?
TOUTE PERSONNE PEUT DÉSIGNER SA PERSONNE DE CONFIANCE, chargée de faire respecter ses volontés, de préférence écrites, auprès du système de santé. Vous pouvez aussi désigner une personne remplaçante au cas où la première serait indisponible.
IL EST URGENT DE REVOIR LA FORMATION DE NOS MÉDECINS (voir le rapport du Dr Sicard):
"LA SANTÉ EST UN ÉTAT DE COMPLET BIEN-ÊTRE PHYSIQUE, MENTAL ET SOCIAL ET NE CONSISTE PAS SEULEMENT EN UNE ABSENCE DE MALADIE OU D'INFIRMITÉ".
Définition de l'OMS en 1946, relayée par la convention européenne des Droits de l'Homme.
On peut ne pas être en bonne santé sans avoir de maladies répertoriées comme telles...
La médecine actuelle n'entre que pour 20% dans la santé de la population, venant principalement des conditions de vie (logement, alimentation, activité physiques, environnement social et familial) et de la génétique.
De nombreux médicaments ont des effets secondaires très nocifs, et sont donnés en excès, ou en mélange dangereux, provoquant de nombreux décès.
L'acharnement médical persiste malgré l'interdiction légale, demandé aussi par des patients qui pensent que la médecine moderne fait des miracles. Non, les miracles n'existent pas, même si la médecine a fait quelques progrès. La mort reste un phénomène naturel et inévitable.