14 Avril 2016
À propos de : http://www.ladepeche.fr/article/2016/04/14/2324997-jean-luc-romero-grand-oublie-est-toujours-celui-meurt.html
d'autres associations en France oeuvrent pour que chacun puisse mourir selon son choix, vite ou lentement, en souffrant ou pas: AAVIVRE … sa fin de vie et Ultime liberté.
la mort idéale en tant que mort volontaire n'est pas admise par une majorité de la population, l'idée du "suicide" restant la transgression des religions monothéistes, malgré les souffrances induites parfois par la médecine (effets secondaires de médicaments).
Pour le moment, la loi veut l'interdire, malgré le droit républicain au suicide.
Mais suicidez vous tout seul et débrouillez vous comme vous pouvez!
tant pis si vous souhaitez cette fin de vie pour vous, lorsque nul ne peut vous guérir.
tant pis si vous êtes acculé à un suicide violent, faute d'autre solution, et que vos proches en seront marqués à vie,
tant pis si physiquement vous n'êtes plus capable d'agir seul. vous n'êtes pas libre de votre vie!
Nos élus refusent d'encadrer des pratiques médicales douces qui pourtant pourraient soulager moralement et physiquement ceux qui en ont ras le bol d'attendre la mort.
elle préfère les actions secrètes et cachées !!!
hypocrisie,
mort douce réservée aux riches et aux « sachants ».
Notre médecine est trop souvent une médecine technocrate, qui rêve plus de s'enrichir et avec elle l'industrie pharmaceutiques et rêve aussi d'empêcher la mort d'advenir, rêve ancien bien que ridicule.
La médecine est trop souvent loin de l'humain. Quel médecin prend le temps de nous écouter ?
(voir « la fabrique des malades » par le Dr Boukris : la médecine dirigée par l'industrie pharmaceutique!)
Il faut rappeler aux citoyens qu'ils ont tous le droit (et le devoir pour moi)
de RÉDIGER LEURS DIRECTIVES POUR LEUR FIN DE VIE, dès leur majorité et qu'ils ont
LE DROIT DE REFUSER DES TRAITEMENTS OU SOINS QU'ON VOUDRAIT LEUR IMPOSER.
Quant à la souffrance physique induite par l'absence de nutrition et surtout d'hydratation en fin de vie, elle peut et doit être enlevée par la sédation autorisée par la loi.
Sans hydratation, l'organisme ne résiste pas plus que quelques jours, surtout lorsqu'il s'agit d'un mourant.
Lorsqu'on va mourir, on n'a pas faim, on ne souffre pas de dénutrition.
La souffrance morale est presque impossible à soulager sauf sommeil profond (sédation profonde), malheureusement, la plupart des médecins préfèrent la nier.
Les français doivent pouvoir choisir leur façon de vivre jusqu'au bout de leur vie :
à chacun ses choix.