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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

VIVRE... MOURIR... LIBRES???

VIVRE… MOURIR… LIBRES !!! dans le respect de mon éthique personnelle.

Vous êtes contents de vivre, malgré vos « petites -ou grandes- misères » , avec l'aide de la médecine ? Tant mieux ! Cela va-t-il durer ?

Certes, un accident de la route ou cardiaque peut vous faire mourir sans bruit, sans souffrances, instantanément…

Mais combien rencontre-t-on de personnes dont la fin de vie nous paraît atroce, pour diverses raisons, une fin de vie que l'on veut refuser pour nous-même ?

Alors comment faire pour vivre jusqu'à la fin selon notre propre éthique, nos propres convictions?

  • Refuser toute médecine ? Mais alors on peut souffrir longtemps...ce dont on n'a pas nécessairement envie…

  • Refuser la prolongation d'une vie lorsqu'elle nous paraît inutile, voire dommageable pour nous et/ou nos proches ? Est-ce condamnable de se préoccuper de ses proches ? Et de leur vie après nous. De toutes façons, nous allons mourir, et eux aussi… la mort est un phénomène lié à la vie. Oui, mais la Médecine le voudra-t-elle ? Va-t-elle nous respecter ? Peut-être mais pas sûr…

 

Les lois sont ambigües, et les médecins ont peur, peur de plaintes, peur de dénonciations, qui pourrait leur faire perdre leur gagne-pain, peur de la Justice pas si juste que çà ! (voir les derniers procès totalement surprenants)

 

Comment agir pour le plus possible être protégé de ceux qui voudraient prolonger notre vie contre notre gré ?

 

1) ÉCRIRE SES DIRECTIVES ANTICIPÉES en précisant bien à quel moment, pour nous même, la vie n'a plus d'intérêts, et dire que nous refusons de souffrir pour mourir. Préciser si on est pour ou contre l'idée de mort volontaire pour nous mêmes. Voir pour cela le détail des questions à se poser sur le site de AAVIVRE … sa fin de vie.

 

http://aavivre.blogspot.fr/p/a-faire.html

 

2) DEMANDER à nos élus de MODIFIER LES LOIS pour que chacun puisse finir sa vie comme il le souhaite, avec ou sans l'aide de médecins.

 

L'AIDE AU SUICIDE (mort volontaire non interdite) DOIT ÊTRE POSSIBLE dès lors qu'il ne s'agit pas de suicide suite à une dépression passagère et guérissable.

  • ACCOMPAGNEMENT (donner la main une dernière fois), éventuellement conseil pour l'achat de produits permettant une mort douce.

  • ORDONNANCE POSSIBLE PAR UN MÉDECIN.

     

Donc il faut pour cela :

 

MODIFIER LES LOIS DE

NON ASSISTANCE À PERSONNE EN DANGER ET NON PROVOCATION AU SUICIDE,

qui ne tiennent compte ni de la volonté de la personne, ni de son état de santé.

Non, la mort n'est pas que danger, il est des circonstances où elle est délivrance, soulagement, repos mérité.

 

MODIFIER AUSSI LE CODE DE DÉONTOLOGIE MÉDICALE pour qu'un médecin qui cesse des soins selon le vœu de son patient, et l'endort jusqu'à ce que mort s'ensuive, plus ou moins vite, ne puisse pas être inquiété par la Justice.

MODIFIER LA LOI DITE « DES MALADES ET DE LA FIN DE VIE »

dont le nom déjà ambigü sépare certains clients de la médecine des autres…

(malades, pas malades, en fin de vie ? Comment le sait-on ? Avant l'agonie proprement dite des derniers jours???)

pour qu'un médecin qui aide une personne selon son vœu et dans le respect des procédures légales qui doivent être précisées ne puisse pas être inquiété.

Décision prise par le « malade » avec le médecin qui l'accompagne, dans le respect des critères légaux, et hors de toute influence familiale.

 

 

 

 

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