15 Février 2017
POURQUOI DONC ?
Quels médecins refusent la mort pour des personnes qui ont écrit lorsqu'elles étaient en possession de leurs moyens (directives anticipées) qu'elles la préféraient à la démence sénile plus ou moins avancée ?
QUELS SONT CES MÉDECINS QUI REFUSENT LE RESPECT DES DIRECTIVES ANTICIPÉES ?
Citation :
« Aux Pays Bas, , la « loi sur le contrôle de l’interruption de la vie sur demande et de l’aide au suicide », entrée en vigueur en 2002, a été petit à petit « assouplie ».
Elle rend possible l’euthanasie pour « des patients conscients et victimes de ‘souffrances insupportables’ et sans perspectives d’amélioration ».
La démence est « considérée comme une ‘souffrance psychique’ sans rémission possible ».
L’euthanasie en cas de démence, au départ conditionnée à une « demande anticipée » confirmée par le patient, est depuis 2015 possible sans cette confirmation :
« Ces patients peuvent être aidés à mourir, même s’ils ne sont plus capables d’exprimer leur volonté à partir du moment où ils étaient encore lucides lors du dépôt de leur déclaration anticipée ».
Je ne comprend pas tout sans doute :
Le patient étant incapable de confirmer ses directives, les directives anticipées doivent être respectées, comme tout testament, pourquoi ceci serait-il valable pour certaines maladies et pas pour d'autres ???
Qui remettrait en cause un testament ? sous prétexte que la personne est devenue démente et a donc été incapable de le confirmer avant sa mort (de toutes façons un mort ne peut rien confirmer)
Ces médecins sont encore des adeptes de la vie à n'importe quel prix, des gens qui ne considèrent pas les souffrances humaines, morales sinon physiques, de ceux qui perdent la tête, sont donc déclarés en état de démence sénile incurable, et qui deviennent des mollusques (ou plantes vertes) ou deviennent dangereux pour leur entourage (combien de déments essaient de tuer leur compagne ??? trop… )
Des médecins qui veulent gagner de l'argent avec l'industrie pharmaceutique qui les gouverne !
NON, LES PAYS BAS MONTRENT L'EXEMPLE, que la France devrait enfin suivre,
ne pas laisser souffrir des personnes qui ont demandé une aide à mourir précédemment leur perte de moyens de s'exprimer,
alors qu'elles se trouvent dans les cas qu'elles ont prévues (démence sénile à un certain stade, ou maladie physique handicapante, ou autre état de santé trop pénible à supporter).