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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

ATTAQUE EN REGLE CONTRE LE CNSPFV : la peur des directives anticipées pour la fin de la vie et de la liberté d'être pour des patients!

ATTAQUE EN REGLE CONTRE LE CNSPFV  des catholiques (intégristes? )

Présidente VERONIQUE FOURNIER

Qui démarre un cycle de conférences d'information auprès du public citoyen.

 

Genethique.org reprend les attaques de ces médecins catholiques qui ont peur pour leur propre philosophie de vie qu'ils veulent imposer aux autres (la vie à n'importe quel prix, moral et financier, aux frais de la sécurité sociale donc de tous) et surtout pour leur porte-monnaie ??? (la fin de la vie est d'un grand rapport financier via les EHPAD – meilleur placement d'argent actuellement - et autres structures privées de soins palliatifs où on prolonge les agonies)

 

Alors que la réponse est simple :

la plupart des citoyens ignore leurs droits dans le système de santé, personne ne leur en a jamais parlé !!!

sauf quelques associations qui ont l'air de prôner les suicides et font peur aux gens (le suicide ou mort volontaire est loin d'être admis communément)

les médecins (catholiques ou non) refusent d'en parler, par peur de la mort, peur de perdre des clients, peur de ne plus être suivis aveuglément dans leurs prescriptions, etc.

 

AAVIVRE … sa fin de vie, a fait le choix de se battre pour que les citoyens soient informés de leurs, droits et de leur liberté d'être, dans la vie et au seuil de la mort aussi.

Bien sûr nous sommes favorables à la liberté de choix de vie :

Souffrir pour mourir, ou pas, prolonger sa vie au maximum, quel que soit son état de santé, avec les machines à vivre connues, ou au contraire, à partir d'un certain état de santé que seul la personne concernée peut désigner, demander de l'aide pour mourir, vite ou lentement, pour ne pas souffrir.

Le suicide doit rester un droit pour tous, et l'aide à la mort volontaire, lorsqu'elle est demandée en fin de vie, n'a rien de scandaleux et il est humain d'y faire face et de la donner, prolonger la vie peut être une torture infligée au mourant.

La demande d'aide pour mourir en fin de vie n'a aucun rapport avec les suicides passionnels consécutifs à un événement particulier (déprime liée à un chagrin d'amour, un deuil mal vécu, la perte de travail, etc. où d'ailleurs les « suicidés » n'ont rien demandé à personne).

Elle est très rare, même dans les pays qui l'ont autorisé (moins de 2 % des mourants demandent une mort rapide type injection mortelle)

 

la Fontaine le disait : « plutôt souffrir que mourir, c'est la devise des hommes »

 

mais à l'époque les possibilités de prolongation de vie artificiellement avec des machines spéciales n'existaient pas !!!

et le catholicisme obligatoire interdisait le suicide par idéologie.

 

Libres de vivre avec le système de santé, en le suivant d'un œil critique et non pas aveuglément.

 

Avoir confiance en un médecin, souvent inconnu et qui ne nous écoute pas ? Pas nécessairement.

Suivre les prescriptions d'un médecin, le plus souvent inconnu si on arrive en fin de vie aux urgences, pourquoi pas si on peut le faire en toute sérénité, après des explications comprises convenables et le rapport bénéfices/risques connu ?

 

Les médecins ne sont pas des dieux, ils se trompent comme tout le monde, et chez nous ils suivent trop souvent les consignes d'une industrie pharmaceutique , qui les forme, plus soucieuse de ses bénéfices que du bien-être des personnes, au vu des scandales qui se succèdent.

La science médicale n'est pas une science exacte, c'est une science humaine qui hésite, tâtonne, à juste titre, et n'a pas de certitudes.

 

Le malade se connaît mieux lui même que tout médecin, et il a le droit d'avoir une éthique différente de celle du médecin dans le service duquel il a échoué la plupart du temps, sans pouvoir choisir.

Nous devons être libres de préférer vivre mal grâce à une science qui prolonge artificiellement les vies, dément, grabataire, comateux, de longs jours ou mois, années, avant sa mort,

ou de préférer la mort à une situation de fin de vie trop difficile pour eux mêmes.

 

C'est au patient de décider de sa vie, pas aux médecins.

 

http://www.genethique.org/fr/pourquoi-une-campagne-pour-mettre-en-avant-un-droit-la-fin-de-vie-67269.html

A l’occasion de la Campagne d’information lancée par le gouvernement, Bertrand Galichon, président du Centre catholique des médecins français (CCMF) s’interroge :

« Pourquoi les malades ne se saisissent-ils pas de ces ‘nouveaux droits’ qui leur sont donnés ? ». Pourquoi le bénéficiaire de cette loi « refuse-t-il de façon implicite de l’aborder de façon ‘moderne et rationnelle ‘, ne serait-ce qu’en désignant une personne de confiance et en écrivant ses directives ?

Ne faut-il pas aussi interroger cette contradiction apparente entre son intérêt pour la question et son ‘immobilisme’ » ?  

Face à la fin de la vie, « n’est-ce pas la part la plus essentielle de notre être qui est concernée ?

En changeant son regard sur la mort, l’homme voit sa vie différemment.

La fin de vie ne peut se réduire à une affaire de ‘droits à’ ».

Aussi, il regrette :

« Mettre l’autonomie comme principe éthique premier permet à une campagne d’information bien conduite sur la loi Claeys de considérer l’inéluctabilité de l’euthanasie ».

 

CE QUI EST FAUX,

la loi nouvelle permet aux médecins de refuser de suivre les directives anticipées d'un mourant, parce qu'ils les trouvent inadaptées !!! (à quoi ? À qui ? )

elle leur permet en urgence de réanimer puis de lire ensuite que le malde refusait toute réanimation !!!

 

 

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