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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

de l'importance des directives anticipées, interview du Dr V Morel 2013

http://www.onmeda.fr/dossiers-sante/accompagner-malade-en-fin-de-vie-l-interview-d-un-medecin-specialiste-651-4.html

2013: Interview du Dr Vincent Morel, médecin spécialiste des soins palliatifs, président de la Société Française d’Assistance et de Soins Palliatifs.

Qui décide si et quand commencer les soins palliatifs ?

Le plus souvent, c’est le médecin traitant ou du service hospitalier qui établit le moment où un patient doit bénéficier des soins palliatifs.

Le patient lui-même peut bien sûr toutefois exprimer son envie d’avoir accès à des équipes spécialisés qui puissent soulager ses souffrances, en faisant appel aux équipes de soins palliatifs, ou à la structure de soins palliatifs la plus proche de chez lui.

Et quand le patient n'est pas conscient... ?

Quand le patient n’est plus conscient, l’équipe de soins palliatifs devra premièrement s’assurer de prendre connaissance des directives anticipées que le malade a pu écrire avant de devenir inconscient et, éventuellement, savoir s’il avait désigné une personne de confiance.

Toutes les décisions qui vont concerner les patients inconscients doivent être prises en concertation avec les directives anticipées (si le patient les a écrites), la personne de confiance (si le malade l’a désignée) et les proches (par défaut, en espérant qu'ils soient d'accord entre eux...).

 

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