fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
22 Décembre 2017
extraits :
« Il faut revaloriser le temps passé à discuter avec son patient, pour les soignants »,
souligne Céline Ricour, médecin gériatre et auteur du rapport.
Le but : remettre le patient au centre de la fin de vie.
En plus de l’importance évidente du respect des souhaits du patient, il en ressort que les soins apportent à la fois un soutien physiologique, mais aussi psychologique au patient et à ses proches.
le développement d’une formation à la communication pour les soignants devrait être une priorité
« Les soignants doivent parler, mais surtout écouter, poursuit Céline Ricour.
Plus de connaissances pour aborder la mort, la maladie grave et les soins de vie nous paraît être le plus urgent. Il y a encore trop de tabous liés à la fin de vie qu’il faut lever par des discussions franches. »
et pourtant la Belgique écoute beaucoup plus que la France ses malades et mourants, avec des lois de liberté (relative) !!!