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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

accusations mensongères pour militer contre toute réforme permettant une aide médicalisée pour mourir selon son choix

MENSONGES, DÉFORMATIONS… habituelles mais très graves …

de tous ceux qui refusent aux personnes le droit de vivre et de mourir selon leur choix.

NON LA JUSTICE EST SEULEMENT JUSTE 

 

https://www.valeursactuelles.com/societe/euthanasie-la-justice-prend-parti-pour-les-coupables-92217

Courrier. Le 13 décembre, la Cour de Cassation a pris une décision importante aux points de vue juridique et sociétal : elle a rejeté le pourvoi du parquet dans l’affaire Jean Mercier.

Jean Mercier, 88 ans à l’époque, avait  été condamné en 2015 à un an de prison avec sursis pour avoir aidé sa femme malade à se suicider. En appel, la Cour de Lyon a annulé ce jugement et l’a relaxé. Le parquet de Lyon a alors formé un pourvoi, que la Cour de Cassation vient  de rejeter, confirmant ainsi la relaxe.

Une fois encore, on ne peut qu’être inquiet de la tendance des pouvoirs (politique, médiatique, mais aussi judiciaire) de s’orienter vers toujours plus de « compréhension » envers ceux qui enfreignent la loi.

De plus en plus, on s’intéresse plus aux coupables qu’aux victimes.

Cette affaire est symptomatique, et inquiétante pour plusieurs raisons.

 

M Mercier n’avait rien d’un coupable de quoi que ce soit. C'est pour cela que la Justice l'a relaxé.

Etait-ce sa faute si son épouse, très âgée, souffrant depuis de nombreuses années, voulait une mort qui la délivrerait de ses souffrances  incurables ?

Etait-ce sa faute s’il s’était engagé depuis toute leur vie, et ce, réciproquement, à se soutenir mutuellement dans un choix de vie qui ne regardait qu’eux ?

Etait-ce sa faute s’il aimait son épouse et s’il a finalement consenti à la laisser libre de son geste (suicide), après qu’il l’en ait malgré tout empêché plusieurs fois déjà ?

Etait-ce sa faute si leur médecin avait refusé de les aider pour qu’elle puisse bénéficier d’une mort douce ? c’est d’ailleurs ce médecin qui, à mon avis outrepassant ses droits, a osé accuser à tort M Mercier.

 

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