fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
22 Janvier 2018
Attention : danger !
Opposition des accompagnants de soins palliatifs (associations plus ou moins catholiques)
à tout changement de loi pour permettre certaines euthanasies médicalisées,
SELON LA SEULE VOLONTÉ DU MOURANT.
ils n'ont toujours pas compris (ou ne veulent pas comprendre) que
EUTHANASIER N'EST PAS TUER
mais
AIDER À UNE MORT VOLONTAIRE DÉCIDÉE PAR LE SEUL INTÉRESSÉ, DONC SUICIDE
non, ce n'est même pas l'église, c'est du vocabulaire...
tant que la loi n'aura pas défini le mot "euthanasie"
ils l'interprètent comme les assassinats nazis, alors que cela n'a aucun rapport, c'est juste
LA BELLE OU BONNE MORT, CELLE QUI SOULAGE DE TOUTES LES SOUFFRANCES, DANS SON SOMMEIL, la meilleure des morts chez les grecs anciens.
Je rappelle que
l’euthanasie (mort volontaire assistée) n’est interdite par aucune loi actuelle,
puisque la loi ignore ce vocabulaire (sauf pour les animaux) et que
le suicide (mort volntaire) reste une liberté de l’individu, un fait non pénalisable
(donc tout accompagnement au suicide ne peut pas être pénalisé)
0n tue quelqu'un lorsque on lui donne la mort contre son gré, à l'opposé de sa demande et lorsque la mort vient de la guerre ou d'un assassinat (agression) qui ne tient évidemment pas compte de la santé ou de l'incurabilité de la personne.
LA LOI QUE NOUS DEMANDONS
ce n'est pas de tuer qui que ce soit, ni mourant, ni handicapé, c'est de
RESPECTER LES CHOIX DE CHACUN,
Y COMPRIS LE CHOIX DE LA MORT VOLONTAIRE
mais il veulent appliquer l'interdiction du suicide par les églises!
imposer les dogmes religieux à ceux qui n'y croient pas
DANGER !
CONTRE LA RÉPUBLIQUE!
ET CONTRE LA LIBERTÉ DE TOUT ÊTRE HUMAIN,
DE DISPOSER DE SON CORPS COMME IL LE VEUT.