1 Mars 2018
Je n’ai pas eu la liste des 156 députés en question.
Mais j’espère que vous vous joindrez, si ce n’est déjà fait, à tous ceux qui espèrent depuis plus de 30 ans le respect des citoyens dans le système de santé public, pour que chacun puisse décider en son âme et conscience de son choix de vie donc de mort, avec l’aide de la médecine pour cesser de souffrir.
Chacun est libre de disposer de son corps (droits de l’Homme).
Les uns choisissent de souffrir, cela les regarde, d’autres choisissent l’endormissement par sédation à la fin de leur vie, mais pourquoi refuser l’aide à ceux qui la demandent pour mourir selon leur choix, vite et bien.
Le suicide est une liberté républicaine.
Le premier devoir des médecins est d’aider à mieux vivre donc à mieux mourir, sans souffrances et vite si c’est la demande réitérée (de préférence écrite) de l’intéressé : compassion pour ceux qui souffrent !
Ne pas obliger les vieux, les vieilles et handicapé.e.s lourds, autres malades gravement atteints et incurables à des suicides violents, dommageables pour tous.
Ne pas obliger les personnes en fin de vie à souffrir, ne serait-ce que moralement (le pire !) .
Ne pas considérer les personnes moins bien que les animaux auxquels on donne l’euthanasie pour éviter les souffrances, sans bien sûr leur demander un avis qu’on ne saurait comprendre.
Merci de m’avoir lue.
Avec mon profond respect.