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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

opposition des cathos ultras à tout changement de la loi sur les fins de vie

http://la-nouvelle-gazette.fr/euthanasie-linterdiction-a-donner-la-mort-protege-a-la-fois-le-patient-mais-aussi-le-corps-medical/127007

 

Attention : Cela vient du « salon beige » un site de cathos ultras réactionnaires ! qui voudraient nous imposer leurs croyances.

 

Encore des opposants à la liberté de chacun.e !!!

 

Il faudrait maintenant que les malades protègent les soignants ??? Drôle de conception !

 

Personne ne demande qu’on tue qui que ce soit !

 

Ceux qui veulent que la loi change demandent seulement de

retrouver leur liberté de choix de vie, de santé, de mort, dans notre système de santé

qui se verrait bien carcéral, obligaoire, nous mettant à la merci de médecins et soignants qui veulent penser à notre place !

Alors qu’on paye tous un service qui s’appelle sécurité sociale, institution qui paye nos soignants pour qu’ils nous respectent d’abord !

 

Les demandes des français sont pour que cesse ce système patriarcal où d’autres personnes veulent prendre l’emprise sur nos choix de vie, sous quel prétexte ?

 

Je hais ces médecins ou soignants qui croient savoir mieux que moi ce qui me convient !

Je suis la mieux placée pour connaître mon corps et sa réaction tant aux maladies qu’aux médicaments.

Ce que je demande aux médecins ce sont des conseils, un avis, pas des ordres.

 

Ceux qui demandent une aide pour mourir sont ceux qui sont déjà en train de mourir…

s’ils veulent que la mort accélère son pas, c’est leur droit ?

 

S’ils demandent une aide médicalisée, on leur doit !

sous la forme souhaitée, plus ou moins rapide (sédation lente ou injection rapide ou aide au suicide) pour leur éviter la souffrance morale de ne pas être écouté, de ne pas être considéré, reconnu comme un humain qui a droit à un soutien convivial de la part des médecins et soignants,

sans même parler des souffrances prévisibles d’une agonie qu’ils veulent éviter, et qu’on voudrait leur imposer.

 

 

 

 

 

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