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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

la SFAP : congratulations entre spécialistes contents d'eux mêmes: pas de malades pour donner leur avis...

http://www.agevillage.com/actualite-16631-1-Fin-de-vie-le-sel-de-la-vie-en-soins-palliatifs.html

 

 

Le congrès national de la Société française des soins palliatifs (SFAP) a réuni à Marseille 2 400 professionnels de santé et bénévoles qui interviennent aux domiciles, dans les centres de santé, les établissements pour personnes âgées dépendantes.

 

 

Je m’étonne toujours de ces congrès de soi-disant experts qui se congratulent de tout le bien qu’ils font…

Pourquoi les malades ne sont-ils pas écoutés dans ces congrès ?

Peut-être leur discours serait-il différent ? On ne le saura pas…

 

Nul doute que ceux qui terminent leur vie conscients puissent profiter de leurs « soins », si toutefois il leur convient d’être choyés par des inconnus.

 

Qu’en est-il de tous ceux qui meurent sans être conscients, et ce depuis plus ou moins longtemps, ayant « perdu la tête » (je préfère ce terme ancien à l’alzeihmer sophistiqué moderne présent à tort sur toutes les bouches) et plus ou moins grabataires, voire comateux ?

 

Les services de soins palliatifs sont surtout destinés à ceux qui meurent lentement de cancer, en ayant gardé la communication avec autrui.

 

Par leur opposition farouche à toute mort volontaire, ils ne peuvent pas convenir à tous ceux qui veulent mourir libres et non pas entretenus dans une survie par des soignants charitables.

 

Personnellement, je les fuis comme la peste, ayant toujours vécu librement, avec le moins de médecine possible, et préférant une belle mort volontaire à une survie dégradante pour moi.

 

 

A chacun ses goûts, ses choix, pourquoi le mien ne peut-il pas être respecté par le système de médecine publique ?

 

Pourquoi, si je me retrouve dans l’impossibilité physique de me suicider, me refusera-t-on l’aide que je demanderai alors ? De par la loi !

 

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