12 Juillet 2018
M MACRON, M LE PREMIER MINISTRE,
MESSIEURS ET MESDAMES LES DÉPUTÉS ET SÉNATEURS,
QUI CHOISIREZ-VOUS DE SUIVRE ?
Les conseillers d’état, gens riches et d’un monde conventionnel, hauts fonctionnaires,
Les catholiques refusant la liberté républicaine,
Les industriels de l’industrie pharmaceutique qui profitent honteusement de la sécurité sociale pour vendre leurs produits sans éthique ...
OU BIEN LES CITOYENS LARGEMENT FAVORABLES (90 % dans tous les sondages, pétitions largement suivies)
NON PAS À LA MORT VOLONTAIRE, rarement demandée (mais çà existe et …
de quel droit imposerait-on des souffrances à ces personnes ? ) MAIS
AU DROIT DE CHOISIR SA FAÇON DE VIVRE ET DE SE SOIGNER JUSQU’À LA MORT :
que ce soit par des soins palliatifs institutionnalisés, qui pronent la sédation partielle rarement continue,
avec l’hôpital (en externe ou interne), en institution ou non
que ce soit seulement avec leur médecin généraliste, chez eux ou chez des proches
ou qu’ils refusent de voir leur vie prolongée « comme un légume » et demandent une aide active médicale à mourir , en direct ou par leurs directives anticipées
AU RESPECT DE LEURS VOLONTES QUANT A LEUR FIN DE VIE
dès lors qu’ils souffrent moralement ou physiquement de souffrances incurables.
Ce qui demande évidemment que LES MÉDECINS SOIENT ALORS PROTÉGÉS PAR UNE LOI ADÉQUATE,
QUI N’EST PAS LA LOI ACTUELLE,
qui préfère toujours les prolongations de vie, quel que soit l’état de la personne, physique et moral (çà rapporte bien trop d’argent aux privés : EHPAD et nombre de soignants , et à l’industrie pharmaceutique, payés par la sécurité sociale : nous ! cela permet de la recherche médicale masquée en utilisant les corps des morts-vivants comme cobayes, sans que personne ne leur ai demandé leur avis sur le sujet… )
qui poussse toujours à la main mise du monde médical sur les personnes, considérées comme mineures incompétentes quant à leur vie… (on préfère dire « vulnérables » ce qui permet aux autres de leur ôter tous lleurs droits de citoyens ! )
qui veut que seul le médecin décide de notre sort (même avec son équipe et un collègue)
On comprend ceux qui refusent la médecine actuelle ! Et préfèrent la mort volontaire, avec ou sans médecins.