26 Août 2018
IVV : INTERRUPTION VOLONTAIRE DE VIE
elle doit être possible ouvertement, sans se cacher :
sans prendre des risques pour se procurer les bons produits actuellement interdits
sans être obligé.e de mourir solitairement de crainte de voir ses proches accusés de non assistance à personne en danger (de mort) à cause d’une loi mal faite
sans être obligé.e à des suicides violents, traumatisants pour tous
dès que la vie devient un calvaire pour l'intéressé.e, de façon incurable,
dès que la décision prise par la personne est prise de façon réfléchie, hors de toute influence néfaste, qu’elle correspond à sa philosophie de vie,
que le cavaire soit moral ou physique ou les deux,
suite à vieillesse (souvent polypathologique) ou trop lourd handicap, ou maladie dégénérative devenue trop lourde à porter,
pourquoi ne pas l'aider à une mort douce et rapide (de quelques minutes à quelques heures)
s'il(elle) le souhaite? Si c’est sa façon de penser sa vie et sa mort ?
l'aide peut être
seulement de fournir le produit adéquat :
loi sur la vente de produits pharmaceutiques adaptés à modifier
ou de lui permettre l'accompagnement de son choix, médecin ou pas. Mais il faut que ceux qui accompagnent la personne qui a choisi de mourir ne soient plus condamnés pour non assistance à personne en danger : première loi à modifier !