19 Décembre 2018
La médecine conventionnelle ne sait pas d’où il vient
probablement de mélange de causes:
de diverses pollutions : air, eau, nourriture… avec tous les produits chimiques que l’on déverse…
de prédisposition génétique
de l’âge : puisque c’est une dégénérescence, et que l’âge favorise les dégénérescences
La médecine conventionnelle ne sait pas le guérir :
Pour des cancers détectés par examens, et qui n’ont jamais dérangé le patient,
le patient peut craindre à juste titre davantage les traitements proposés
que le cancer en lui-même…
Il faut savoir qu’on peut les refuser.
Car quel danger représente le cancer ?
La mort, à longue échéance dans le cas de cancers à évolution lente,
mais elle nous est promise à tous, dès la naissance !
On a largement le temps de mourir d’autre chose que du cancer, lorsqu’il est pris au début et que son évolution est lente…
Qu’une espérance de vie plus courte dérange de jeunes parents, qui vont tout essayer pour risquer de retarder leur mort, je le conçois.
Pour moi, 73 ans, déjà vieille, n’ayant plus personne à charge, vivant seule,
en quoi me dérange l’idée d’une mort plus ou moins proche ? En rien.
Les traitements préventifs, proposés pour éviter une récidive, sont d’une barbarie insoutenable :
chirurgie : mutilation
la cicatrisation est longue, on me promet 1 an avant que mes cicatrices dures cessent de me gêner (elles me gênent plus que la tumeur qu’on m’a retirée)
chimiothérapie : empoisonnement
qui provoque de terribles nausées, une perte des cheveux, je la refuse absolument !
brûlures : radiothérapie : çà fait mal, même si je vais essayer de compenser avec un coupeur de feu…
hormonothérapie pour moi (cancer du sein) :
très efficace d’après la biopsie, mais on attend les autres traitements avant de la commencer, pourquoi ?
Les effets secondaires sont fréquents (30%) et peuvent être graves, je verrai bien.
Les examens complémentaires : scintigraphie osseuse et scanner du ventre sont inutiles pour moi, rien de décelé comme prévu!
et j’ai eu une réaction importante à l’iode ; désormais interdit pour moi… plus de peur que de mal, heureusement.