8 Février 2020
https://www.franceculture.fr/emissions/matieres-a-penser/medecine-et-cinema-1010-choisir-sa-mort?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2o50iUCRfDILHk01voizM3fMWiPutwLGzvfh6rFMahX3yIF32y5NRY4mU#Echobox=1577467960
très beau film à voir ou revoir
oui il faut respecter l'Autre avant toute chose et son désir de terminer sa vie à sa façon
chacun pense différemment:
Pourtant si vous aimez la personne, ce qui implique pour moi un respect absolu, laissez la décider de son sort et ne pleurnichez pas, acceptez son choix, même s'il est dur pour vous.
Plus tard votre choix sera le même ou un autre, peu importe. Ce sera votre choix.
Vous avez le droit de penser différemment,
vous n'avez pas le droit au manque de respect.
MANQUER DE RESPECT C’EST ATTENTER À LA DIGNITÉ DE LA PERSONNE.
MILITEZ AVEC NOUS POUR QUE LES LOIS SOIENT SOUMIS A CE PRINCIPE :
ADHEREZ A NOTRE ASSOCIATION AVEC DES MEDECINS QUI VEULENT POUVOIR ETRE LIBRES DE NOUS AIDER.
RESPECT DE L AUTRE DANS SA VIE JUSQU’À SA MORT !
DEUX LOIS À MODIFIER :
loi de santé dite Leonetti Clayes sur les droits des « malades » et de la fin de vie
(déjà le titre de la loi crée une discrimination entre ceux qui seraient en fin de vie et les autres, sans que nul ne soit capable de dire quand commence la fin de la vie… qui est plus que l’agonie!
attention :
Le mot « malade » pour un médecin est très particulier : il se réfère aux maladies connues étiquetées… or tant de souffrances ne sont pas classées dans une maladie ou même plusieurs…
Vous pouvez être en mauvaise santé et vous sentir très mal sans maladie par rapport au système médical ! Puisque la bonne santé est définie comme le bien-être…
loi de non assistance à personne en danger (de mort)
qui ne distingue pas le cas d’une personne qui se sauve devant un accidenté du cas d’accompagnement à un suicide choisi de façon claire et déterminé en fin de vie.
Loi qui est faite pour interdire les suicides sans le dire puisque la République a toujours considéré le suicide comme la première liberté de l’être humain.
On ne veut pas que la mort soit la délivrance recherchée par celui ou celle qui souffre de façon incurable et n’en peut plus de souffrir.
Certes on veut éviter des suicides « coup de tête » mais ceux là ne demandent jamais de l’aide pour mourir.