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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

culture, instruction, médecine, hôpital

« LA SANTÉ EST UN ÉTAT DE COMPLET BIEN ÊTRE PHYSIQUE, MENTAL ET SOCIAL ET NE CONSISTE PAS SEULEMENT EN UNE ABSENCE DE MALADIE OU D'INFIRMITÉ »

Définition de I'OMS en 1946, relayée par la convention européenne des droits de l'Homme, inchangée depuis.

N'oubliez pas qu’on peut être en très mauvaise santé sans être « malade » au sens médical du terme, les « maladies » étant définies par des protocoles précis dans notre système de santé.

LA DÉRIVE GOUVERNEMENTALE ACTUELLE M’INQUIÈTE BEAUCOUP :

  • une grande peur développée sciemment d’une épidémie somme toute pas pire que bien des mauvaises grippes des années précédentes, véhiculée par des medias à la solde du gouvernement,

  • la volonté de trouver au plus vite un vaccin hors de prix que la France fera payer par tous via la sécurité sociale, et qui sera efficace ou pas…

  • le refus de soigner « artisanalement » avec les moyens du bord les malades malgré les résultats obtenus par les médecins qui ont décidé de soigner malgré l’interdiction,

  • l’attente de l’aggravation de leur cas pour essayer de les réanimer alors qu’ils sont mourants, ce qui coûte des fortunes à la sécurité sociale, et aux mutuelles donc à tous les français alors que les réanimations sont efficaces à 25 % seulement les suites de réanimation étant parfois horribles…

  • la décision prise de donner du rivotril aux personnes âgées et cas graves ce qui leur assure une mort rapide sans les consulter auparavant : décision médicale en soins palliaitfs venue du gouvernement !

  • LE REFUS D ECOUTER LES CITOYENS SUR LEUR VISION DE LA MALADIE, DE LA MORT ET DES REANIMATIONS

EN MÊME TEMPS QU’ON ACHÈVE LES MALADES DE PNEUMONIE SUITE AU COVID AVEC LE RIVOTRIL sans leur demander leur avis, ordre du gouvernement,

ON REFUSE TOUJOURS LA LOI

QUI PERMETTRAIT À CHACUN DE DÉCIDER DE SON CHOIX DE FIN DE VIE :

  • MORT DEMANDÉE rapide et douce

  • OU

  • ESSAI FORCENÉ DE SURVIVRE À TOUT PRIX.

Nul ne sait combien coûte réellement les traitements que l’on propose. C’est anormal.

On sait que le français n’aime pas dire ce qu’il gagne ni ce qu’il dépense, argent tabou, mais dès lors que des traitements sont payés par la collectivité, la transparence des coûts devrait être obligatoire.

On sait seulement que l’hôpital public va mal, faute d’argent pour assumer les technologies de plus en plus sophistiquées et hors de prix destinées à empêcher de mourir.

LE PAIEMENT À L’ACTE ET LA VOLONTÉ DE RENTABILISER L’HÔPITAL A TUÉ LA MÉDECINE PUBLIQUE.

Manque de lits d’hôpital (on en ferme encore!)

Manque de médecins et d’infirmiers en médecine publique…

Beaucoup de français se ruinent pour payer des soins via des fausses mutuelles qui sont en réalité des assurances privées coûteuses, complices de médecins libéraux utilisant les dépassements d’honoraires en médecine libérale au sein même de l’hôpital public.

Même les vrais mutuelles : associations à but non lucratif, coûtent cher, la sécurité sociale ne prenant en charge qu’une part de plus ne plus réduite de la réalité des frais.

LA MÉDECINE PUBLIQUE DEVRAIT ÊTRE ACCESSIBLE À TOUS, ON DEVRAIT RECRÉER LES DISPENSAIRES D’AUTREFOIS.

Quant à la médecine libérale privée elle serait réservée à ceux qui pourraient la payer de leurs deniers ou grâce à leurs assurances privées.

Elle ne devrait pas être remboursée par la sécurité sociale.

DEUX CHOSES ESSENTIELLES AU MOINS NE VONT PAS DANS NOTRE RÉPUBLIQUE ACTUELLE :

  • L’ÉCOLE ET LA CULTURE,

  • LA MÉDECINE OFFICIELLE PUBLIQUE.

  • Je ne parlerai pas ici de la Justice …

Là aussi inégalités flagrantes institutionnalisées entre pauvres et riches

Tant qu’on n’aura pas séparé comme autrefois (principe de laïcité)

  • l’aide publique ouverte à tous remboursée ou gratuite,

  • et le privé non remboursé à charge de ceux qui le souhaitent,

RIEN NE POURRA FONCTIONNER DÉMOCRATIQUEMENT.

LA DÉMOCRATIE EST BAFOUÉE À L’HEURE ACTUELLE :

  • l’école publique pour les pauvres, au rabais

  • l’école privée conventionnée majoritairement catholique ou confessionnelle pour les riches mais qui bénéficie quand même de l’argent public : profs formés et payés par l’état, bâtiments très souvent appartenant à l’état et donc entretenus par l’état…

  • l’hôpital public dont le budget se restreint de jour en jour, mais qui permet en son sein l’exercice privé de la médecine libérale avec dépassements d’honoraires réservée à ceux qui peuvent payer.

  • les cliniques privées qui prennent en charge les soins moins risqués et appliquent des dépassements d’honoraires souvent importants bénéficient quand même des aides de l’état et des remboursements pour leurs clients.

  • la médecine de ville devenue uniquement libérale, avec des zones de désert médical et d’autres saturées.

Sous le prétexte de ce nouveau virus pas pire qu’un autre, on a fermé les écoles les collèges les lycées, l’enseignement supérieur, on a fermé les lieux de culture cinémas, théâtres salles de concerts,

un peuple ignorant et terrorisé est un peuple que l’on mène par le bout du nez :

premier chemin vers la dictature.

Si les masques étaient vraiment si bien que çà, on pourrait au moins continuer à vivre normalement grâce à eux, mais ce n’est pas le cas.

SOUS LE PRÉTEXTE DE CE VIRUS, ON A INTERDIT DES SOINS « BRICOLÉS » MAIS EFFICACES PARCE QUE NON PROTOCOLAIRES …

(il faut du temps pour établir des protocoles de soins pour chaque maladie, de plus ces protocoles sont une uniformisation du malade considéré comme « moyen » ou « normal » ce qui est contradictoire avec la nature humaine : pas deux personnes ne réagissent de la même façon à des traitements et soins)

MAIS DANS LE MÊME TEMPS ON A RECOMMANDÉ AUX SOINS PALLIATIFS DE NE PAS LAISSER « TRAÎNER » LES MOURANTS ET DE LES ACHEVER AU RIVOTRIL, SANS ÉVIDEMMENT QUE LA PERSONNE CONCERNÉE AIT À DONNER SON AVIS.

Ce qui n’empêche pas le gouvernement d’être hostile à une loi dite à tort de santé, en réalité de médecine publique officielle, menée par « big pharma » , qui permettrait à chaque français de décider de son sort en cas de problèmes de santé incurables et lui rendant la vie intenable, et de pouvoir être aidé à mourir selon son choix.

LE GOUVERNEMENT CONTINUE DE VOULOIR UNE MÉDECINE PATRIARCALE QUI DÉCIDE À LA PLACE DU SOIGNÉ.

L’OR GRIS RAPPORTE DES FORTUNES à certains même s’il ruine la sécurité sociale donc tous les français qui la paient, même s’il ruine les caisses de retraite..

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