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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

La Société d'accompagnement aux soins palliatifs n'est pas un organisme officiel. C'est une association loi 1901. très influencée par le Pape et les catholiques intégristes .

Le Dr Claire Fourcade est présidente de la Société Française de soins et d’Accompagnement palliatif (SFAP)

Elle s'oppose encore comme toujours à toute tentative de changement de loi donc de pratiques euthanasiques au sein de la médecine publique.

 

La Société d'accompagnement aux soins palliatifs n'est pas un organisme officiel.

C'est une association loi 1901. très influencée par le Pape et les catholiques intégristes .

Malheureusement la République l'a laissé influencer beaucoup de soignants en se déchargeant sur eux en partie des formations des accompagnants aux soins palliatifs .

Sa charte des accompagnants refuse toute intervention pour supprimer les souffrances y compris les sédations légales !

Elle nie les demandes d'aide à mourir des patients, qui disparaîtraient avec l'amour des soignants... fausse utopie !

Les demandes cessent car à force de s'entendre dire qu'il ne faut pas souhaiter sa propre mort, on retire la parole au mourant.

Donc une bonne partie de la population française qui ne suit pas le Pape à la trace refusent de passer par ces gens là !

Pour eux « faire mourir n’est pas un soin » :

Je suis médecin, la mort n’est pas mon métier.

Dans l'euthanasie, réclamée par le patient,

il ne s'agit pas de faire mourir mais d'accélérer le processus de mort déjà bien engagé.

De toutes façons la mort est annoncée. Lente ou rapide ? Là est la question.

Le métier d'un médecin est d'abord de soulager les souffrances pour rendre la vie meilleure, pas pour prolonger les agonies !

Il existe des cas où la médecine ne peut pas soulager les souffrances du mourant.

Alors il est important de respecter la personne qui souffre et de la laisser décider de son choix pour le peu qui lui reste à vivre.

ILS N'ONT VISIBLEMENT RIEN COMPRIS AU RESPECT DU PATIENT, ni au sens de l'euthanasie = belle mort.

SEUL LE PATIENT PEUT DIRE QUE SA SOUFFRANCE EST INTOLÉRABLE ET

QU'IL A DÉCIDÉ -ou non - DE PRÉFÉRER MOURIR RAPIDEMENT PLUTÔT QUE LENTEMENT.

  • Son choix peut être de souffrir (souffrance rédemptrice) alors on laissera faire.

  • Son choix peut être une sédation que ces gens là refusent malgré la loi qui l'autorise, sauf aux toutes dernières heures quand c'est devenu inutile.

  • Son choix peut se porter sur une mort accélérée ou euthanasie.

AUCUNE RAISON D'OBLIGER LES GENS À SOUFFRIR DANS LEUR FIN DE VIE.

Leur position est honteuse. Ils se régalent de la souffrance d'autrui.

Il faut dire que beaucoup d'argent est en jeu.

Je me souviens du premier cri des soins palliatifs lors de l'affaire Bonnemaison : il nous retire des clients !

Je me souviens que le journal local avait laissé une page entière dès le lendemain à l'évêque du coin.

Comme si c'était à l'église catholique de juger des actes médicaux.

Pauvre médecin rayé de son métier alors que tous ses clients en étaient très contents et que la Justice l'a absout, mais pas le Conseil de l'Ordre rétrograde et qui se place au dessus de nos lois, ce qui est un scandale.

CE N'EST PAS LE MÉDECIN QUI LES TUE,

C'EST LEUR MAUVAIS ÉTAT DE SANTÉ INCURABLE, MALADIE, SUITE D'ACCIDENT OU VIEILLESSE.

 

 

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