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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

quelle loi future pour nos fins de vie? nous voulons le respect du citoyen!

LE CHOIX - CITOYENS POUR LA MORT CHOISIE

NOUS VOULONS UNE LOI DE SANTE offrant à chacun.e

LA LIBERTÉ DE CHOISIR SA FIN DE VIE

- Permettant le choix de l'aide active à mourir : comme en Belqique ou en Suisse.

pour des personnes atteintes d'affections incurables (suite à maladies ou accidents) leur faisant préférer de mettre fin à leur vie plutôt que de poursuivre une vie devenue insupportable pour eux mêmes, sans attendre d'être arrivé au stade ultime de l'agonie, sans attendre d'être soumis à des souffrances intolérables.

De 3 à 4% de demandes dans les pays qui l'ont permis depuis 20 ans.

Il importe de vérifier

leur état de santé incurable : 1 médecin devrait suffire, le dossier médical de la personne lui étant accessible

et

leur volonté personnelle : il s'agit de s'assurer par des questions à la personne lorsqu'elle peut encore s'exprimer, sa personne de confiance sinon, que la volonté écrite dans ses directives est bien la sienne, et si elle peut s'exprimer, qu'elle n'a pas changé d'avis : ce qui se fait en Suisse.

Pas besoin de médecin, seulement une personne civile agréée.

Pas besoin de 3 médecins !

- Permettant également la sédation dite terminale sans attendre les derniers jours d'agonie pour ceux qui ne souhaitent ni suicide assisté ni euthanasie (ils sont nombreux)

sédation réalisable au domicile, suivie par le médecin généraliste habituel, qui ne dure pas plus que quelques jours. (48h maximum si possible)

 

Nous voulons des soins palliatifs libérés de toute idéologie pro-vie et répondant réellement aux souhaits du malade, permettant tant les sédations partielles ou continues que l'aide active à mourir, selon la demande.

 

La formation des médecins généralistes aux soins de fin de vie doit être renforcée, car malgré la circulaire Laroque de 1982 la prévoyant, cette formation est très largement insuffisante.

 

C'est le rôle du médecin traitant de suivre ses patients jusqu'à leur mort (ou la sienne).

Il doit pouvoir le faire.

 

Les soins palliatifs ne doivent pas être réservés à des services hospitaliers,

Pas de ghettos de la mort ! Ni de médecins spécialistes de la mort...

 

La médecine doit aller de la naissance à la mort...

 

 

 

 

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