fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
14 Août 2023
14 AOUT société française du cancer (association de recherche sur le cancer)
Association privée et indépendante, la Société Française du Cancer, créée en 1906, est la plus ancienne association de « lutte » contre le Cancer. Depuis plus de 116 ans, cette société savante se veut interdisciplinaire et joue l’intermédiaire entre la recherche clinique et la recherche fondamentale.
La SFC fédère chirurgiens, médecins, radiothérapeutes et chercheurs afin d’unir leurs efforts pour faire avancer les connaissances fondamentales et thérapeutiques sur le cancer.
Ces gens là sont dans la recherche médicale et sont loin des patients... la recherche n'est pas personnalisée.
on retrouve tous les poncifs des opposants... rien de nouveau...
1) "donner" la mort
alors qu'il s'agit de LAISSER MOURIR UN PATIENT QUAND IL LE DÉCIDE, parce qu'il va mourir dans de grandes souffrances
LA MORT VIENT DE LA OU LES MALADIES ET/OU HANDICAPS ET PAS DU MÉDECIN.
LA MORT UN PEU AVANCÉE EST LA DÉCISION DU MOURANT.
Pas celle du médecin qui accepte seulement de soulager ses souffrances comme son patient le demande.
2) préserver les soignants :
Pauvres soignants dont les patients mourants doivent s'inquiéter! C'est le monde à l'envers !
S'ils préfèrent que leurs patients souffrent jusqu'au bout plutôt que de soulager leurs souffrances, ils ne méritent pas le nom de « soignants »...
ils sont pour moi des bourreaux...
L’oncologue ne cache pas ses réticences personnelles et son appréhension sur la mise en place de l’aide à mourir pour raison médicale.En quoi cela peut-il la déranger ?
Il y aura une clause de conscience et aucun médecin ne sera contraint de pratiquer l'aide à mourir
3) Ils disent que ce n'est pas un soin : FAUX:
chez nos voisins et ailleurs, l'aide médicale active a mourir est le dernier soin.
4) Ils clament que de nombreux médecins refusent le changement de loi pour autoriser l'aide active à mourir :
FAUX : seulement une petite partie des médecins ! Certes « braillards » !
Ceux qui ont pris le pouvoir sur nos vies, ceux qui se disent spécialistes de la mort, ceux qui veulent toujours prolonger nos vies... (Çà justifie leur travail ? Çà leur rapporte ? )
et ne veulent pas nous rendre la liberté de décider de notre vie jusqu'à notre mort !
Contraire à la Déclaration des Droits de l'Homme : ma vie, mon corps m'appartiennent !
POUR : 77% des réanimateurs, 55% des généralistes etc...
Sont contre :
Les croyants dans les doctrines des églises (encore, pas tous ! )
Ceux qui n'ont pas encore compris que la mort n'est pas leur échec, mais le dénouement naturel de toute vie
Ceux des soins palliatifs de la SFAP qui travaillent souvent dans des hôpitaux privés et même catholiques, qui gagnent leur vie avec les mourants : ils ont peur de perdre des clients, et dont l'idéologie est celle du Pape et de la religion : « il faut souffrir pour mourir ». Ils ajoutent que « il faut prolonger les vies le plus longtemps possible »
ce que n'a jamais demandé le Christ ni les patients !
La prolongation des vies par la Médecine va à l'encontre de la volonté divine si elle existe...
Or nos vies actuellement sont presque toutes prolongées largement par la Médecine...
5) ils accusent les pays qui ont légiféré de dérives : MENSONGES ÉHONTÉS
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LA CONVENTION CITOYENNE SUR LA FIN DE VIE, c'est clair !
une majorité (75,6%) des 184 Français tirés au sort s’est déclaré
EN FAVEUR DE L’AIDE MÉDICALE À MOURIR, ce qui nécessite le changement de la loi de santé, et quelques autres modifications par conséquence dans le Droit français.
Tous ont demandé le renforcement des soins palliatifs, non réservés aux spécialistes, légal depuis 1986!!! et le gouvernement s'active déjà dans ce sens.
Agnès Firmin Le Bodo affiche une volonté très claire d’aller jusqu’au bout pour faire adopter cette loi. La ministre a ouvert un espace de dialogue avec les professionnels de santé. Un groupe de travail incluant les sociétés savantes planche ainsi sur des points techniques : comment évaluer le discernement, le pronostic vital, le niveau de la souffrance ?… Comment assurer la collégialité dans l’examen des demandes d’aide à mourir ?
Pour l’heure, le ministère de la Santé a fixé plusieurs préalables incontournables au recours à l'aide active à mourir :
-l’incurabilité de la maladie : il vaudrait mieux parler de l'incurabilité des souffrances
-le pronostic de mort engagé à moyen terme :
comment peut-on prévoir la durée de vie qui reste à quelqu'un de très malade ???
personne ne peut le faire sans grosse erreur, on le sait...
-l’obligation pour le patient d’être en capacité de discernement (sont ainsi exclus les mineurs et patients souffrant de troubles psychologiques ou psychiatriques).
normal
SAUF qu'on peut avoir des troubles psychiques et avoir sa capacité de discernement
SAUF qu'un mineur souffre autant qu'un adulte, et que si les parents sont d'accord, pourquoi contraindre ce mineur à souffrir plus longtemps?
les personnes qui perdent leur capacité de discernement sont en principe sous tutelle...
-Enfin, cette demande d’aide active à mourir ne pourra pas être inscrite dans les directives anticipées.
ABERRANT :
la demande de mort programmée correspond à une philosophie de la vie qu'on a bien avant d'être proche de la mort.
Pour les partisans de cette demande, ils doivent pouvoir l'exprimer par écrit .