Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

FIN DE VIE : TROP FRÉQUEMMENT, LES DERNIERS JOURS DU PATIENT N’ONT PAS ÉTÉ ANTICIPÉS.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/rouen/deserts-medicaux-ivg-et-fin-de-vie-des-patients-qui-demandent-une-attention-particuliere-2818562.html

Jean-Bernard Demontrond exerce au sein du service d’Hospitalisation à Domicile (HAD) de la Côte Fleurie (Cabourg, Pont-l'Évêque et Honfleur). l’hospitalisation à domicile est régulièrement mise en place pour des patients très âgés ou atteints de maladies graves. Il est souvent confronté à la fin de vie, personnes de tous âges.

TROP FRÉQUEMMENT, LES DERNIERS JOURS DU PATIENT N’ONT PAS ÉTÉ ANTICIPÉS.

Pour Jean-Bernard Demontrond, c’est un véritable échec

LA LOI PRÉVOIT LES DIRECTIVES ANTICIPÉES DEPUIS 2005 ! mais dispositif très peu utilisé par les citoyens !

Notre système de santé n'a prévu

  • ni de les informer de cette nécessité ,

  • ni de les aider à leur rédaction...

La loi actuelle n'oblige pas les médecins à les suivre : çà décourage les citoyens de les écrire !

« on ne devrait plus avoir besoin d’appeler les familles pour leur demander ce qu’on doit faire quand la situation est grave. »

Et ce n'est pas aux familles (qui ? de la famille...) de décider à la place de l'intéressé.e... familles souvent divisées sur le sujet...

« pour le patient, le passage aux urgences est un traumatisme,

pour les proches, c’est difficile de répondre à cette question sans y avoir pensé avant.

des questions importantes se posent :

  • le patient souhaite-t-il finir ses jours chez lui ?

  • quand arrêter les traitements ? quels soins ? conséquences

  • mettre en place des sédations partielles ? pour limiter les souffrances...

  • mettre en place des soins palliatifs ? les soins palliatifs peuvent être réclamés »

      • Durée maximum 1 mois d'après la HAS.

  • mettre en place une sédation continue profonde jusqu'à la mort, à partir de quand ?

A mettre dans vos directives anticipées :

l'essentiel :

Acceptez vous ou refusez vous les souffrances finales ?

Acceptez vous de survivre sans certaines capacités qui vous paraissent indispensables, lesquelles ?

( parmi par exemple : pouvoir parler, communiquer , bouger, marcher , lire, écrire, sentir – goût toucher odorat – voir, entendre... manger et boire seul.e, faire sa toilette seul.e, etc etc...

A quel moment (selon vos capacités restantes) voulez vous qu'on arrête tout traitement ?

Si vous le pouviez, sur le principe, si vous savez qu'aucune amélioration de votre état de santé n'est prévisible, que vous souffrez trop :

  • vous préférez mourir avec une sédation finale en quelques jours, sans savoir quand exactement, sans forcément attendre les derniers jours de l'agonie (comme c'est prévu dans la loi actuelle)

    ou bien

  • vous préférez organiser et prévoir la date de votre décès avec vos proches et médecins, pour une mort volontaire (ce sera sans doute possible demain ? sans s'expatrier... )

PENSEZ A SA FIN DE VIE ET ECRIRE CE QUE L ON VEUT OU PAS NE FAIT PAS MOURIR

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article