9 Août 2023
Loi pour la liberté de choix en fin de vie, et pour l'aide médicale active et passive à mourir : 3 attaques des opposants le même jour dans « le Figaro » !
8 AOUT LE FIGARO
j'ai déjà répondu:
8 AOUT LE FIGARO
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/fin-de-vie-gare-aux-derives-20230808
LES DÉRIVES SONT CELLES DE LA LOI ACTUELLE :
ELLE DISCRIMINE LES PATIENTS : INEGALITE DES CITOYENS
- en leur interdisant l'aide active à mourir et
- en repoussant la sédation terminale aux derniers jours présumés de leur vie, tant pis s'ils souffrent le martyre avant!
ELLE POUSSE AUX SUICIDES VIOLENTS DES MALADES GRAVEMENT ATTEINTS, faute de trouver de l'aide et de la compassion auprès des médecins
ELLE OBLIGE A LA CLANDESTINITE : euthanasies clandestines ou suicides assistés clandestins
DEMAIN SI LA LOI EST BIEN CADRÉE, DE FAÇON CLAIRE, comme dans les pays qui ont déjà légiféré, il n'y a aucune raison d'avoir plus de dérives...
IL DEVRAIT AU CONTRAIRE Y EN AVOIR MOINS...
Le droit d'être aidé à mourir ne provoquera aucune demande de ceux qui n'en veulent pas !
Et il est hors de question qu'on abrège la vie de ceux qui ne l'auront pas demandé !
Ce serait alors un meurtre punissable par la loi.
8 AOUT LE FIGARO
« La promesse d'éternité n'est pas tenue, pas plus que celle de l'absence de souffrance. La médecine en est coupable et les médecins endossent ce sentiment de culpabilité. »
La médecine moderne s'est rendue coupable de vouloir faire croire qu'elle avait une puissance infinie, un mensonge évident auxquels de moins en moins de gens donnent crédit ,
les médecins les premiers : non ils ne sont pas des dieux et n'ont pas des pouvoirs surhumains...
Aucune promesse d'éternité : seules les religions peuvent l'offrir pour une vie après la mort, pour ceux qui y croient...
Toute vie a un début et une fin, ce qui permet aux espèces vivantes d'évoluer. Plantes, animaux, humains, nous sommes tous faits ainsi.
L'affirmation par certains médecins (en particulier en soins palliatifs) que toutes les souffrances peuvent être soulagées dénie la réalité des faits :
Nous connaissons tous des gens qui souffrent sans cesse et que nul ne peut soulager sauf à les endormir artificiellement ou à les aider à mourir, ce qu'ils ne demandent pas tous loin de là.
Nombre d'entre eux supportent leurs souffrances et préfèrent vivre avec, avec quelques anti- douleurs insuffisants mais utiles.
Pour certains, lorsque la souffrance devient trop grande, ou qu'elle dure trop longtemps, ils demandent une aide aux médecins pour une mort douce et rapide :
nombre d'entre eux préfèrent une sédation terminale qui ne fixe pas la date et l'heure par avance, possible actuellement trop tard et souvent trop longue (il faut améliorer la loi sur ce sujet)
mais certains sont décidés à la mort programmée avec leurs proches, qui les entoureront jusqu'à la fin, pour une mort préparée selon leur choix.
Redonnons aux patients la capacité de décider de leur vie donc de leur mort, sans les pousser à des suicides violents et solitaires .