LIBERTE DE CHOISIR SA MORT ET D Y ETRE AIDE DANS LE CAS DE SOUFFRANCES INCURABLES

https://www.la-croix.com/international/Fin-vie-droit-mourir-devant-justice-europeenne-2023-11-28-1201292540?fbclid=IwAR1j2VqZ0R17vK8nM-nBuTgutyC45gEArPbV-5scRfHa0Ubmb1n1anoZQxQ

interdire l’aide à mourir à un malade incurable est-il une atteinte à la liberté ?

C’est la question qui était examinée, mardi 28 novembre, par la Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire Karsai contre la Hongrie. Le jugement est attendu dans quelques mois.

NOUS PARLONS ÉVIDEMMENT DES ADULTES RESPONSABLES.

RAPPEL : UN DROIT N EST PAS UNE OBLIGATION

                POUR MOI

INTERDIRE L AIDE A MOURIR

                C'EST SUPPOSER QUE LE SUICIDE SERAIT UN CRIME, CE QU'IL N'EST PAS !

LE SUICIDE (au sens propre : se tuer soi même) EST UNE DES LIBERTÉS DE L'HOMME

adulte responsable dont le corps lui appartient, à lui (elle) seul... gagnée en France depuis 1789.

l'interdiction vient des chefs religieux actuellement (cela n'a pas toujours été),

sauf martyres de la religion , toujours bien vus...

LE DROIT DE VIVRE NE DOIT PAS ETRE UNE OBLIGATION DE VIVRE,

quelle que soit la qualité de cette vie, dont seul.e.s nous sommes juges, c'est nous qui la vivons, nul autre...

Nous subissons notre naissance, non choisie par nous mêmes,

NOUS VOULONS CHOISIR NOTRE FACON DE MOURIR QUAND NOUS JUGERONS L HEURE VENUE

pour supprimer des souffrances incurables, à 99, 9% :

habituellement, l'humain s'accroche à la vie ... et préfère vivre avec ses souffrances, si elles sont supportables...

NE PAS RESPECTER LE DROIT DE CHACUN DE DECIDER DE SA PROPRE MORT

EST UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ HUMAINE

OBLIGER UN MALADE INCURABLE QUI SOUFFRE À SURVIVRE CONTRE SON GRE

EST UNE ATTEINTE À SA LIBERTÉ

ET A LA COMPASSION QUE L ON DEVRAIT EPROUVER,  AU LIEU DE LE TORTURER

(obliger quelqu'un a souffrir le martyre, est une torture pour lui)

Comment concilier cela avec les actions pour éviter les suicides d'adultes plus ou moins jeunes par exemple, suite à des difficultés passagères ?

leur donner des conditions de vie acceptables : minimum vital pour tous

(de quoi se loger, manger, boire selon ses besoins),

leur proposer aides sociales ou/et médicales en cas de difficultés matérielles ou morales

(çà existe déjà, on peut toujours améliorer)

c'est la meilleure aide pour soigner une dépression passagère, curable .