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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

LA MEUTE DES LOUPS CONTRE UNE MEDECIN DEVOUEE 43 ANS DE BONS SERVICES accusée à tort d'euthanasie pour avoir pratiqué une sédation terminale avec curare à une patiente déjà morte cérébrale

LE PROCES AUX ASSISES D ALBI

5 ANS APRES LES FAITS DERNIERE MINUTE AVANT ARRET DES POURSUITES

On lit partout dans la presse : "Une médecin condamnée à deux ans de prison avec sursis pour avoir euthanasié une patiente"    FAUX TOTALEMENT FAUX  :

elle n'a tué ni "euthanasié" personne et sûrement pas cette vieille dame arrivée dans un coma profond en état de mort cérébrale, donc déjà morte ! constaté par le médecin légiste : son cœur était hors d'état de fonctionner après 5 hospitalisations récentes avec comas

D'ailleurs l'Ordre des médecin ne l'a jamais convoquée : Ni blâme ni interdiction d'exercer... depuis 5 ans... Pensez vous vraiment que l'Ordre des médecins laisserait une criminelle soigner des malades ???   et ce jugement ignoble lui permet de continuer à exercer son métier de médecin...

les jurés ont à la fois jugé qu'elle était criminelle et que ce n'était pas grave...

vous y comprenez quelque chose ?? 

il fallait qu'elle soit condamnée et qu'elle ne fasse pas sa peine...pour pouvoir continuer à exercer son métier de médecin... c'était décidé par avance...

CERTES IL Y A EU FAUTE ADMINISTRATIVE : Son erreur est de n'avoir pas suivi la procédure collégiale obligatoire pour l'arrêt des soins pour obstination déraisonnable : mais comment faire autrement dans l'urgence des convulsions agoniques que la famille présente ne supportait plus ?  Dans un hôpital où l'urgentiste lui avait « refilé » cette dame refusée au CHU de Toulouse, au CH d Albi car cas désespéré et urgences saturées... mais les urgences de Lavaur étaient aussi saturées et le médecin indisponible... alors il a demandé à sa collègue intérimaire, 68 ans, d'intuber la patiente sans se préoccuper du reste... et elle a obéi sans réflexion préalable : c 'était déjà de l'obstination déraisonnable pour cette dame arrivée au bout du bout, après 5 comas cardiaques dans l'année, qui avait perdu 20kgs, qui ne mangeait plus. Ensuite elle a soulagé les convulsions avec le curare seule médication possible et le curare est interdit...

La même chose qu'au procès de Périgueux en 2009 !!!

Nous (avec le Choix citoyens pour la mort choisie) soutenons cette médecin accusée à tort et espérons qu'elle fera appel de ce jugement partial et faussé...

Nous étions présents les deux jours du procès et avons pu rencontrer la médecin accusée, son avocat et les journalistes présents

Les jurés n'ont tenu aucun compte de l'état de la patiente à son arrivée au CH de Lavaur (rapport très clair du médecin légiste qui a pratiqué l'autopsie)  : elle était déjà en mort cérébrale,  et de ses antécédents gravissimes qui ne laissaient aucun espoir...

DANS TOUS LES DÉBATS AUTOUR DE L'AIDE À MOURIR, LE PATIENT EST L'ÉTERNEL ABSENT !!! inimaginable...

Commentaires des avocats dans le journal sud ouest :

« La peine avec sursis, qui est une peine d’avertissement -on dit à la personne : ‘Madame, une fois, pas deux’- nous est parfaitement admissible, compréhensible, juste », a déclaré après l’énoncé du verdict l’avocat de la famille, Nicolas Nassier. « On a une famille aujourd’hui, à la veille des fêtes, qui, je pense, est apaisée, soulagée et peut enfin tirer le rideau à cette triste histoire », a-t-il poursuivi. »

Ce qui veut dire : vous pouvez tuer une patiente on vous le pardonne, mais pas deux ???

absurde!!! insensé !!!

La famille s'est porté partie civile la veille du procès alors qu'elle avait été au départ appelé comme témoin, puisqu'au moment de la mort de la vieille dame, elle avait remercié ce médecin d'avoir arrêté les souffrances d'agonie de leur mère  : pourquoi, au bout de 5 ans ? un huissier leur aurait dit de le faire...

Mais la condamnation leur permet de demander des indemnités compensatrices... (qui seront calculées le 8 mars au tribunal d'Albi)

L’avocat de la défense, Laurent Belou, a regretté la décision du tribunal :

« On a plaidé l’acquittement. Notre discours, nos explications n’ont pas convaincu », a-t-il affirmé. Pour lui, « il n’y a pas d’intention criminelle », mais une volonté d’éviter « un acharnement thérapeutique »

Sa cliente est « très surprise du verdict puisqu’elle ne se considère pas comme meurtrière », a-t-il ajouté. Au bout de 43 ans d’exercice de la médecine, terminer sur une accusation, puis une condamnation aujourd’hui, de meurtre, c’est extrêmement compliqué et dur »,

a encore déclaré Me Belou.

 

 

 

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