22 Février 2024
DEPUIS 50 ANS LES DEBATS SE SUIVENT EN FRANCE AU SUJET DE LA MORT
avec notre médecine et les lois afférentes du système de santé français
QUI EN DECIDE ? c'est encore le médecin et pas la personne elle même
les spécialistes des soins palliatifs refusent de perdre leur pouvoir ...
malgré les autres médecins favorables en large majorité ...
malgré des citoyens qui veulent que çà change : il s'agit de leur vie et de nulle autre...
1968 LA DÉFINITION DE LA MORT CHANGE pour permettre les greffes d'organes prélevées sur un mort : c'est désormais LA MORT CÉRÉBRALE :
LA PROLONGATION PAR VIE ARTIFICIELLE PERMETTRA LE PRELEVEMENT D'ORGANES SAINS
1978, le sénateur HENRI CAILLAVET DÉPOSE LA PREMIÈRE PROPOSITION DE LOI pour permettre l'aide à mourir médicalisée :
https://www.senat.fr/leg/1977-1978/i1977_1978_0301.pdf
1980, L'ADMD EST CRÉE PAR MICHEL LANDA écrivain journaliste et PIERRE SIMON, médecin.
elle lutte POUR LE RESPECT DE LA VOLONTÉ DU PATIENT (dignité)
qui ne veut plus de survie médicalisée mais ne veut plus qu'une chose : la mort délivrance.
« Choisir les conditions de sa propre fin de vie, conformément à ses conceptions personnelles de dignité et de liberté. »
voir : https://www.cairn.info/publications-de-Michel-Landa--730841.htm
LE REFUS D'AIDE DE LA MÉDECINE POUSSE LES GENS AU SUICIDE SOUVENT VIOLENT, faute d'autres moyens doux réservés à la pharmacopée.
Aujourd'hui, malgré quelques progrès,
dont LES LOIS KOUCHNER 1999 ET 2002, premières à accorder une voix au patient client de la médecine : droit au refus de soins, droit à une personne de confiance :
avant seul le médecin tout puissant décidait de nos vies...
suivies DES LOIS LEONETTI 2005 ET 2016 très ambigües :
droit à des directives anticipées écrites ... mais il n'est pas certain qu'elles soient suivies...
alors très peu de personnes les ont écrites, aucune publicité n'a été faite pour expliquer ce sujet dans la médecine,
UN MÉDECIN PEUT ENCORE NOUS IMPOSER DE VIVRE DES SOUFFRANCES INTENABLES
ET REFUSER DE NOUS ACCORDER LA MORT DÉLIVRANCE que nous demandons instamment.
Après des vies prolongées par une médecine qui refuse la mort, et se vante de soulager toutes les souffrances, ce qui est impossible, et qui veut garder le pouvoir sur nos vies, qu'elle a encore malgré quelques progrès
JAMAIS LA SEULE CONCLUSION SENSEE :
QUE LE CHOIX DE LA VIE (SANTÉ, VIE ET MORT avec ses souffrances )
SOIT CELUI DE LA PERSONNE ELLE MÊME !
EN AUCUN CAS COMME AUJOURD'HUI, LA DÉCISION D'UN MÉDECIN,
FUT-CE AVEC SON ÉQUIPE !
Aujourd’hui, avec Macron, ON ATTEND TOUJOURS
MALGRE LA CONVENTION CITOYENNE,
MALGRE LES PROMESSES TOUJOURS REPOUSSEES A PLUS TARD....
pour un débat au parlement...