l'originalité de l'association "le Choix, citoyens pour une mort choisie" : ses médecins

Le Choix … créé en 2018, a pris en 2020 avec le Dr Denis Labayle,

l’axe de la formation d’un groupe de médecins (comité médical) prêts à nous aider

aujourd’hui : aide pour des dossiers pour Suisse et Belgique,
écoute de la personne,
et travail important sur la loi de santé de demain, en relation avec ministres, députés et sénateurs :

pour des sédations terminales correctes et brèves à la demande du patient, sans attendre les derniers jours d’agonie,
maintien d’une hydratation minimale de confort
et pour que soit possible l’aide médicale pour mourir très vite et en douceur, mort programmée.

et - demain : prêts à former des médecins volontaires pour l’aide à mourir si la loi l’autorise.

Nos médecins ont déjà fait ou feront des stages de formation en Belgique sur l'aide à mourir en réponse à la demande du "mourant" .

Cet axe me parait essentiel pour une majorité de français:

certains hésitent devant la mort volontaire programmée et préféreraient une sédation "terminale" brève (moins de 2 jours)

mais bien en amont de l'agonie commencée ... contrairement à la loi actuelle qui la restreint aux derniers jours d'agonie

et aux souffrances insupportables (pour qui?) et incurables

La plupart des français ne veulent plus des prolongations imposées par la Médecine aujourd’hui pour des vies qui ne respectent pas leur conception d’une vie digne d’eux- mêmes … :

un minimum d’autonomie nécessaire en général…. niveau différent pour chacun,

et cessation de toute souffrance, morale et physique par la cessation de leur vie, souffrances liées à leur état de santé très mauvais, avec souvent plusieurs maladies et ou handicaps...

Ils ne veulent plus des références à un code administratif des maladies classées graves (mortelles à quelle échéance??? ) qui exclut nombre de maladies : maladies dégénératives en particulier, maladies classées psychiatriques , polypathologies ....

La loi actuelle et ses décrets d’application n’autorise pas la sédation terminale

qu’elle soit décidée par le médecin (fin d’obstination déraisonnable ) ou par le mourant (qui demande l’arrêt de tous les traitements sauf contre les souffrances) - autorisé depuis 2016-

sauf aux derniers jours d’agonie, et pour lutter contre les souffrances venant de « graves maladies » au sens de la Médecine, ce qui interdit nombre de maladies dégénératives et la polypathologie

https://choisirmafindevie.org/2023/06/21/la-deshydratation-pronee-par-la-loi-claeys-leonetti-une-indication-medicale-ou-une-justification-ideologique-video-du-docteur-denis-labayle/

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