fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
24 Avril 2024
Claudette Pierret dit :
demander à ce que la décision soit collégiale, c'est encore un moyen de retarder la pratique d'une euthanasie, voire de ne pas la pratiquer si un seul des membres de la collégialité n'est pas d'accord.
Ma réponse :
une vraie collégialité en justice
c'est un nombre impair de personnes indépendantes
où la décision est prise non pas l'unanimité mais à la majorité 50% + 1 voix
la soi disant collégialité médicale n'en est pas une :
c'est juste l'équipe médicale en charge du malade à ce moment là, qui ne le connaissait que rarement auparavant,
infirmières et aide soignants dépendants de leur patron,
et un deuxième médecin indépendant, que l'intéressé peut demander...
le troisième est de trop sauf cas très particuliers.
toutes ces équipes décident à l'unanimité ce qui est une aberration pour une collégialité
un vrai collège serait formé du médecin traitant, voire d'un deuxième médecin
et de personnes civiles indépendantes connaissant ou non la personne,
dont la personne intéressée en priorité assistée de sa personne de confiance
que l'intéressé ne fasse pas partie du collège qui va lui dire sa décision d'accepter ou de refuser son projet de fin de vie = l'aide pour mourir en paix, plus vite et sans souffrance supplémentaire,
parait aberrant :
c'est un tribunal où l'accusé serait absent... et sans avocat...