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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

fin de vie : des psys "fous"??? en tous cas qui ont oublié la règle essentielle de tout soin : croire ce que dit le malade!

https://www.nouvelobs.com/societe/20240425.OBS87579/fin-de-vie-des-psys-en-colere-face-a-la-promotion-du-suicide-et-de-l-aide-a-mourir.html

TOUJOURS LES MEMES DOGMES

DES MEDECINS TROP SURS D EUX QUI NE FONT PAS CONFIANCE A LEURS PATIENTS

1) extrait :

« une personne se suicide car elle présente des difficultés psychiques qui nécessitent des soins »

NON : pas dans tous les cas

Ce n'est pas le cas des morts préparées de la fin de la vie. Très réfléchies avec raison.

En dehors des fins de vie, tous les suicides ne sont pas conséquences de maladie mentale :

Cela vient d'une invention des églises pour cesser leur prédation sur les suicidés et leur famille, quand on leur interdisait le cimetière alors catholique, et que l'Eglise toute puissante prenait les biens des suicidés et laissaient leur famille excommuniée dans la misère...

Il y a eu des révoltes et on a inventé la maladie mentale comme excuse acceptable au suicide, qui permettait l'enterrement catholique et arrêtait la prédation des biens, l'Eglise étant devenue riche après l'invention du Purgatoire et les indulgences !

Histoire :

En 1476, le pape Sixte IV décrète en faveur de l'église de Saint Pierre de Saintes que des indulgences en faveur des âmes du purgatoire peuvent être accordées en offrant lors d'une visite d'église une somme ou une valeur déterminée en vue de la réfection d'une église.

Le 31 octobre 1517, Luther affiche sur la porte de l'église du château de Wittenberg ses 95 thèses. Il y dénonce le système des indulgences. Le protestantisme va naitre. Luther est suivi de peu par Calvin.

https://wikimemoires.net/2013/06/le-suicide-dans-lhistoire-du-moyen-age-a-lancien-regime/

La prohibition du suicide accompagne le recul de la liberté humaine :

l’homme perd le droit essentiel de disposer de sa propre personne, au profit de l’Eglise (…) et au profit des seigneurs (…)


2) Autre extrait : « une demande de mort est une demande de soins et une demande de vie »

FAUX une demande de mort est une demande de mort. Point.

Venant d'un adulte responsable et raisonnable en train de mourir, la demande est seulement une demande réelle.

Le raisonnement de ces psy me fait penser à ces hommes qui disaient :

Quand une femme dit non, c'est qu'elle dit oui ! Pour justifier de leurs exactions sexuelles...

Eh bien non, quand une femme dit Non c'est NON

La société a beaucoup évolué sur ces points grâce à Me Too, fort heureusement.

Quand une personne qui va mourir demande une mort accélérée, ou du moins l'arrêt des contraintes qu'on lui fait subir pour la maintenir en survie, c'est une vraie demande de mort. Point.

Elle demande juste qu'on l'écoute et la respecte.

Il est grand temps que la médecine évolue pour croire ce que le patient dit !

Faire confiance à la personne (même malade elle sait ce qu'elle veut) et croire ce qu'elle dit,

a priori.

D'ailleurs cela va favoriser la discussion toujours utile et peut-être faire reculer l'échéance ?

On sait que pour ceux qui obtiennent le feu vert pour une euthanasie en Belgique ou un suicide assisté en Suisse, leur moral remonte et ils vivent plus longtemps que prévu.

Personne ne fait la promotion du suicide, quand il s'agit de dépression -maladie mentale - comme les psy le disent et qu'ils espèrent guérir.

D'ailleurs dans le cas des suicides impulsifs, non réfléchis, suite à un événement particulier,

les personnes ne demandent aucune aide ni pour vivre ni pour mourir, ils se débrouillent comme ils peuvent et ils se ratent plus ou moins volontairement, du moins inconsciemment : c'est un appel au secours. Là il faut évidemment aider ces personnes à passer un cap difficile de leur vie.

Pour moi, ils sont plus dans les suites de traumatisme que dans la dépression... mais je ne suis pas psychiatre et je n'ai pas leur vocabulaire.

Promotion de l'aide à mourir en fin de vie  : oui , c'est une façon de parler...

cela correspond à la demande de 80% des français , 75% de la convention citoyenne :

LAISSEZ NOUS MOURIR EN PAIX,

ne prolongez plus des vies qui ne sont que survies de souffrances

et aidez ceux qui le demandent à franchir le pas, de la vie à la mort douce.

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D
Merci pour votre excellent texte qui décrit exactement la situation et montre la réalité telle qu'elle est ! je n'ai même pas pu finir l'article du nouvelobs tellement les postures de ces psy me mettent en colère, me faisant perdre tout mon sang froid. J'admire beaucoup votre façon de démonter ces arguments dont on nous rebat les oreilles ! merci !
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J
merci
B
C'est clair et net.<br /> Il faut que cela soit entendu.
Répondre
J
merci