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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

1er match gagné: Sarkosy n’en voulait pas, F Hollande a promis de relancer le débat sur l’aide à mourir ou euthanasie, suicide assisté....

à nous de veiller à ce que ce soit fait!
avec des députés que nous élirons en fonction aussi et surtout de leurs idées sur la liberté du citoyen sur sa santé donc sa vie:
la campagne législative commence et nous avons des lettres à écrire, des tracts à distribuer, des arguments à développer pour être écoutés...
 
nous voulons que la loi mette le citoyen au centre du système, donc que ce soit lui qui décide des soins, traitements, etc... qu’il accepte ou refuse à tout moment de sa vie,
alors qu’il les subit actuellement trop souvent:
bonne information, éducation à la santé, et cessation de la mort-tabou: responsable de sa vie dès 18 ans, on peut l’être également de sa fin de vie donc de sa mort:
à chacun ses choix: ma vie, mon corps m’appartient!
l’un aime souffrir, l’autre ne le veut pas
l’un veut prolonger sa vie et rêve de record de longévité, quel que soit son état de santé; l’autre trouve que “çà suffit”, il a assez donné et rêve de s’endormir pour toujours
les uns voudraient garder la meilleure forme jusqu’à la mort, refusent le moindre bobo, les autres préfèrent vivre malgré de lourds handicaps...
l’un veut décider pour lui-même, l’autre préfère que d’autres choisissent pour lui
qui a raison? tout le monde évidemment, puisque c’est de ma vie, mon corps qu’il s’agit ,
nous avons des vécus différents, des philosophies de vie, des religions diverses...
nous avons tous des appréciations différentes
il ne s’agit pas de les classer en bien ou mal, mais de les accepter toutes
et de permettre aux médecins de respecter les volontés de l’Autre, quelles qu’elles soient, et même de les y obliger globalement (par collègue interposé si besoin).
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