fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
22 Avril 2012
pourquoi une telle différence entre deux hopitaux?
l'un, classique, qui ignore la loi, et apparemment, s'en moque
j'attendrai la réponse à ma lettre à la CRUQPC, pour dénoncer les dysfonctionnements du service
l'autre, de convalescence, pour personnes âgées
où on trouve des gens attentifs, délicats, et respectant la dignité de la personne
certes, je sais que ces derniers ont eu une formation à l'humanitude, il y a déjà quelque temps...
mais eux aussi sont en sous-nombre: 2 aide-soignants par jour seulement pour s'occuper de 27 malades âgés
là assi le personnel n'est pas assez nombreux
quant au médecin, elle a promis de ne pas faire d'acharnement... et de respecter la volonté de ma mère (toujours très consciente, mais j'ai préféré écrire ses volontés avec les textes de la loi leonetti, pour conifrmation écrite dans son dossier)
à suivre... espérons que cela sera le cas
l'environnement est différent, puisque ce mdecin est son ancien médecin, qui la connait depuis 30 ans
mais comment des soignants peuvent -ils pour certains être inhumains, pendant que d'autres sont attentifs et respectuieux de l'humain?
on peut se poser des questions sur la formation des personnels et sur le fonctionnement de l'hopital, avec un chef de service chirurgien, qui commande à tous seulement d'aller vite ... sans humanité...
pourquoi le chirurgien ne fait-il pas seulement les opérations, et ne laisse-t-il pas le suivi à un généraliste, qui serait plus humain, il faut l'espérer ... que ce technicien, par ailleurs bon dans ses réparations du squelette?
c'est l'organisation des hopitaux qui crée cette situation?
est-ce pareil partout?
le suivi humain ennuie profondément ce chirurgien... imbu de ses talents de réparateur...
peut-être d'autres sont comme lui, et naturellement, réparer un squelette (ou pour d'autres opérations peut-être, pour d'autres chirurgies) est une activité qui n'a rien à voir avec un suivi médical humain... qui demande d'autres qualités de médecine à l'écoute du patient...
et comme la loi actuelle se contente de définir les devoirs des médecins sans prévoir ni contrôles ni sanctions, chacun fait ce qu'il veut... au patient de prouver la maltraitance, le non-respect... qand c'est le cas, et ce n'est pas facile, surtout pour des personnes âgées et malades
à quand une loi qui oblige les médecins à respecter les personnes qu'ils "soignent" en respecter leurs volontés de projet de vie et de fin de vie?
une loi qui les forme tous à l'humanitude, aux soins dits palliatifs, pas de façon rapide et superficiel, mais solidement?
la technique est une chose, mais on sait que le moral influe énormément sur les guérisons, et que la maltraitance médicale ou soignante par non respect de la dignité des personnes y est contraire...