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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

l'admd dans la rue du 15 au 21 avril: marchés et autres..

les militants de l'ADMD seront présents sur vos marchés du 15 au 21 avril,

POUR INFORMER DE LA LOI QUE NOUS SOUHAITONS

pour permettre à chacun, en conscience, de choisir les conditions de sa propre fin de vie:

souffrir ou non

voir sa vie prolongée, laisser mourir, ou aider à mourir plus vite

 

DROIT A L'AIDE MEDICALISEE POUR IVV, interruption VOLONTAIRE de vie,

pour tous ceux qui souffrent d'une fin de vie qui ressemble à une trop longue agonie ...

  • les uns souhaitent souffrir et jouer les prolongations, même déraisonnables...
  • les autres demandent seulement qu'on les laisse mourir tranquilles, sans prolongations, juste sans souffrir,
  • et certains veulent une aide active à mourir au plus vite et en douceur, leur vie ayant perdu toute qualité et dignité pour eux mêmes.

Tous ont raison, par rapport à leur philosophie de vie, leur liberté de conscience, on doit tous les respecter!

NON à Marie de Hennezel, qui veut refuser la possibilité d'aide à mourir et préfère imposer le point de vue du médecin ou du religieux , niant ainsi la laicité 1905 de la République: liberté de conscience pour chaque citoyen! égalité et solidarité!

Il faudra établir dans la loi des contrôles et prévoir les sanctions en cas de non respect:

  • contrôles des pratiques médicales pour voir enfin cesser les acharnements inutiles et déraisonnables
  • contrôles des pratiques médicales pour empêcher les souffrances, tant morales que physiques
  • contrôle des pratiques médicales pour le cas des aides actives à mourir, dans le cadre défini par la future loi: aide possible pour celui ou celle qui le demande instamment:

lorsque la personne est en fin de vie (pronostic: 6 mois maximum),

lorsque la personne souffre, au moins moralement, de son état de santé trop mauvais,

ou

lorsque la personne juge que sa dignité est bafouée (regard qu'elle porte sur elle même)

 

LA LOI DOIT RESPECTER TOUS LES CITOYENS, pas seulement une majorité...

 

 

 

 

 

 

 

 

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