fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
18 Décembre 2012
médecins auxquels il ne faut pas toucher, çà oui... dommage...
il serait temps que les médecins soient payés pour ce qu’on leur demande et pas autre chose...
le jour où ils voudront aller travailler où on a besoin d’eux... sans dépassement d’honoraires... et où ils accepteront d’écouter les malades, et de les accompagner, comme le faisaient nos médecins de campagne, çà ira mieux...
attention :
je ne veux pas dire que tous les médecins sont plus intéressés par l'argent que par le soin...
même si c'est évident pour certains
on connaît tous de bons médecins, à l'écoute, et des médecins qui pratiquent depuis longtemps l'aide à mourir à leurs « patients », malgré les risques qu'ils encourent...merci à eux
ils doivent faire école !
Si les jeunes veulent être tous fonctionnaires, pourquoi pas ?
Puisque c'est la sécu qui les paie, et nos mutuelles, c'est à dire nous, les citoyens ; indirectement...
çà ne changera pas grand chose pour l'état...
Mais les fonctionnaires vont où on les demande !!! et n'ont pas des salaires mirobolants...
si les médecins ne veulent travailler qu'à l'hôpital, en spécialité,
comment fera le citoyen sans généralistes de proximité?
Il restera la médecine privée pour les riches... et les autres ???
l'admd n'a à donner d’allégeance à personne
pour l’élection présidentielle, on avait à choisir entre un non ferme, en faveur des mandarins et un oui mais peut-être hésitant... choix entre le pire et le moins pire...
alors on a encouragé le vote pour celui qui hésitait... , moins pire...
Hollande se serait fait avoir ? non, ce serait une insulte au Président, pas si bête que çà, et un homme qui paraît « honnête » (au sens ancien d'honnête homme).
Hollande a décidé d’une commission de plus, pour ménager la chèvre et le chou,
c’est fait, çà n'a guère d’intérêt pour nous, c'est de la politique...
çà a quand même favorisé des débats, des échanges, radio, TV, des films...
C’EST LA SUITE QUI NOUS INTÉRESSE:
Hollande a toujours dit qu’il ne déciderait de rien et laisserait parlement et sénat décider...
alors
ACTION RENFORCÉE VERS LES DÉPUTÉS ET SÉNATEURS DE TOUS BORDS...
ET PAS SEULEMENT À GAUCHE...
ce sont eux qui font et défont les lois...
si on obtenait déjà de ne pas pouvoir mettre au tribunal ceux qui accompagnent un suicide« raisonnable et raisonné »(je préfère à “assisté”, c’est le terme des suisses), ce serait un petit progrès... qui satisferait de nombreux adhérents à notre cause
MAIS
Au Benelux, on ne distingue pas le suicide accompagné de l’euthanasie, c’est bien, car comment Vincent Humbert pouvait-il se suicider?
Doit-on laisser souffrir (au moins moralement) ceux qui ne peuvent pas se suicider ?
On nous dira qu'on aurait pu débrancher Vincent Humbert et pratiquer une sédation terminale de moins de 24h... ce qui a été fait, en désespoir de cause... mais si sa mère n'était pas intervenue , il pourrait encore continuer son calvaire, avec des médecins autistes...
et pourquoi 24h serait-il mieux que 2h ??? ou 1/4h ???
pour moi, l’euthanasie que nous demandons est bien l’IVV interruption volontaire de vie, accompagnée pour une mort douce
qu’on puisse faire seul le geste est préférable, mais il faut une ordonnance médicale pour le produit... donc des médecins
(je déteste ce mot « ordonnance », symbole du pouvoir absolu des médecins sur nos vies... et nos lois.... jusque là...)
mais lorsque l'aide est indispensable, c'est aux médecins de la donner.
Sinon, à qui d'autre ?
Peu importe
qui rédige l'ordonnance (obligatoirement un médecin dans notre société) ,
qui fait la piqûre (médecin ou infirmier) si nécessaire
dès lors quela décision a été prise après mûre réflexion par l'intéressé,seul responsable de sa vie, accompagné de son médecin, voire un autre, et de sa personne de confiance... en toute connaissance de cause, et dans un état de santé impossible à améliorer
et que, si la personne ne peut plus s'exprimer,
on s'appuie sur ses directives anticipées écritesqui devraient être obligatoires
et à écrire, pour tout citoyen adulte responsable (modifiables à tout moment),
et à respecter, pour les médecins
et que ce soit la personne de confiance qui la remplace pour la décision toujours prise après mûre réflexion et en connaissance de cause,
ce qui fait que la personne de confiance doit pouvoir alors accéder au dossier médical..., ce qui n'est pas le cas actuellement.
tant mieux si les proches acceptent la décision de l'intéressé, mais sinon, tant pis,
ce n'est pas à eux de décider.
Seul l'intéressé doit décider de sa vie, demande ou refus d'aide à mourir,
d'autant que rien ne l'empêche d'écrire dans ses directives qu'il met volontairement sa vie entre les mains d'un autre, qu'il aura choisi.