TROP DE CASQUETTES POUR LE PRÉSIDENT ACTUEL DE L'ADMD et autocratie, contraire au principe de démocratie participative des associations loi 1901
Cela dessert la cause des adhérents et des sympathisants...:
mélange des genres et instabilité des choix
Cumul des mandats dénoncé depuis longtemps par les Français chez les politiques... dont on espère voir la suppression proche...
Il ne suffit pas de paraîtredans quelques médias ou sur twitter, même si cela n'est pas inutile.
société de consommation... images... twitts... mais doit-on être « à la mode » ?
« beaucoup de bruit pour rien » (Shakespeare)
Notre cause n'est pas une mode, ni un objet de consommation,
mais l'affirmation que les êtres humains adultes sont responsables d'eux-mêmes, égaux en droits, libres de leur corps, de leur choix de vie … donc de leur mort, et fraternels, capables d'empathie et d'entr'aide.
Les médias se font un plaisir de toujours mélanger les combats divers du président, ce qui nous porte tort, à mon avis (je rejoins H Caillavet qui l'avait dit dès 2007, mais il connaissait mieux que moi le président actuel).
Nombreux sont les adhérents qui ne sont pas d'accord avec les autres combats du président, et c'est leur droit. Le mélange les contrarie.
Commentaire de cet article du « Monde » :
Il rassemble ses troupes : serait-il un général d'armée ?
L'admd – du moins son président - ferait-elle la guerre ? À qui ?
Aux médecins ? Ou au système de santé publique qui leur laisse tous les pouvoirs sur nos vies ?
Ne pas se tromper d'objectif...
nous avons besoin des médecins pour nous aider à vivre et à mourir dignement, selon notre décision.
Oui, mais il n'hésite pas à abandonner « ses troupes » le seul soir de réunion des délégués de l'admd à Paris au profit de la 3ème soirée/sortie avec Florence Cassez à l'Elysée ou dans le bar gay à la mode...
Mariage en vue, avec son ami ? Félicitations ! et qui vont-ils adopter ?
Super héros ? Zorro ? Ou Lucky Luke et ses Dalton? Ou encore ??? "people"??? que faut-il en penser ?
Cela devient tristement ridicule... On parle plus du président que de l'association et de ses idées. Est-ce le but ?
Pas autant de succès médiatique pour l'admd et son but qu'on voudrait nous le faire croire :
On parle beaucoup et dans tous les médias, livres, films, théâtre, des problèmes de fin de vie, euthanasie ou acharnement, souffrances, problèmes avec la médecine et la pharmacie, ce sont des problèmes d'actualité. Mais on s'aperçoit en faisant les marchés que la plupart des gens ignorent notre existence et … les lois.
Nos opposants prennent beaucoup plus de place dans les médias.
Eux et leurs idées sont connus d'un large public.
Le président actuel de l'admd ne s'occupe pas d'encourager la pédagogie des « directives anticipées », de la personne de confiance, à partir d'une large réflexion de la base sur la vie/la mort, et pourtant c'est la base de tout :
car combien de français ont écrit leurs directives, choisi leur personne de confiance ?
Presque pas... y compris parmi les adhérents de l'admd...
remplir un imprimé tout fait (par l'admd ou autres) n'est pas écrire librement ses choix de vie et ses décisions pour sa fin de vie... même si cet imprimé peut donner des idées d'écriture.
Pourtant, il ne faut pas attendre d'être à l'agonie, pour écrire ses choix de vie, jusqu'à la mort.
C'est un travail à faire dès l'âge adulte, 18 ans et sinon le plus tôt possible,
au cas où un accident, une maladie imprévue, arriverait...
nous laissant dans l'incapacité de nous défendre contre l'acharnement médical habituel, le « déraisonnable » étant laissé à l'appréciation du seul médecin qui s'occupe de nous, et qu'on ne connaît pas, qui ne nous connaît pas, s'il s'agit d'urgences..
travail de pédagogie pour lequel les médecins généralistes (et autres...) devraient s'investir :
ils seront les premiers à bénéficier d'un allègement de leurs responsabilités sur nos vies.
Première nécessité pour que leurs volontés (qui devront être décisionnelles) soient respectées par les médecins, surtout en cas d'urgence :
les faire connaître à nos médecins et à nos proches, évidemment à notre personne de confiance.