"un voyage" est en salles depuis hier: ne le ratez pas!

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amour, vie et mort : tout y est.

l'amour n'est pas possessif, égoiste, il est respectueux, accompagnant, magnifiant l'autre.

la mort envisagée (là, proche), permet de vivre mieux, les grecs le disaient déjà:

la vie est "courte", la mort fait partie du programme, il faut donc profiter de tous les instants, non pas pour faire n'importe quoi, mais pour vivre "bien", pour soi et pour les autres, dans le respect mutuel et l'amour universel:

peu de gens ont la chance de vivre un amour romantique, à la vie, à la mort, comme le disent les enfants souvent.

mais nous pouvons tous vivre l'amour universel, il ne dépend que de nous, il ne demande pas de réciprocité.

n'oublions pas que la mort nous attend tous, prévue ou imprévue, jeune ou vieux, par accident ou maladie ou vieillesse, prévoyons-là dans notre vie, préparons-la en en parlant d'abord, en ne la fuyant pas, et pensons que chacun d'entre nous a son chemin de vie et ses idées, toutes différentes sur la vie et la mort.

par rapport au système de santé et des médecins qui ne nous connaissent pas, pour la plupart, dont le leit-motiv est trop souvent d'empêcher toute mort, quelles que soient les circonstances, le seul moyen de nous défendre des abus de pouvoir est d'écrire nos volontés pour notre santé et la médecine, et pour notre fin de vie.

la mort demande aussi pour ceux qui restent, une préparation et chacun pourra écrire son choix : enterrement ou crémation, là ou ailleurs, avec ce rite ou un autre, selon nos croyances.

AAVIVRE... sa fin de vie, demande au système de santé et à la société et ses lois de respecter l'humain dans ses choix de vie et de mort, de santé au cours de sa vie.

ce qui demande aussi l'éducation par la connaissance des lois, un minimum de connaissances pour être ou rester en bonne santé, des diverses pensées philosophiques sur la vie et la mort.