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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

médecine du sens: film Dr Olivier Soulier

comprendre pour guérir

 

renouer avec les médecins ancestrales, naturelles, venues d'Orient ou d'Occident...

renouer avec une médecine où l'humain est primordial, où l'écoute de la personne est essentielle, où psychologie et empathie du médecin jouent un rôle préalable à toute médication.

 

ne pas renier des savoirs anciens, mais les relier aux savoirs nouveaux.

 

une autre formation des médecins: de la technique, oui, mais pas que de la technique! la technique au service de l'Homme et pas l'Homme esclave de la technique.

 

cela va dans le sens de l'écoute, du respect du "patient", donc dans le sens de nos désirs de respect des volontés de chacun quant à sa fin de vie et sa mort.

 

à chacun sa vie, à chacun une façon différente d'appréhender sa fin.  

 

et Respect de la part des médecins et soignants

 

ce sont les demandes de AAVIVRE... sa fin de vie...

 

pour chaque citoyen:

apprendre à se poser les questions du sens de sa vie, du sens de sa mort, et à répondre par avance aux besoins des médecins: connaître le patient, et ses désirs de vie, donc de fin de vie et de mort. car demander le respect de volontés que le médecin ignore, est un leurre.

faire partager ses réflexions à sa famille et à ses proches: chacun peut avoir des opinions différentes, voire opposées, mais il faut apprendre à toutes les respecter, comme on respecte un testament de biens, de crémation ou d'enterrement religieux ou civil.

pour chaque médecin:

se soucier d'abord de la personne humaine, de l'Autre, différent mais respectable et écouter et suivre ses volontés réfléchies et précises, tout au long de sa vie et aussi en fin de vie.

Pas d'infantilisation, pas de pensée à la place de l'Autre... 

des personnes en perte de mémoire ne sont pas forcément en perte de conscience, les deux sont différents.

 

pour les législateurs:

faire que la loi suive les exigences de la population en médecine plus humaine et plus respectueuse de ses patients/clients, qui font vivre la médecine.

assurer une meilleure formation des médecins pour une médecine à l'écoute de l'Autre, qui mette ses techniques au service des autres mais ne les impose pas à ceux qui les refusent.

liberté et entr'aide ne doivent pas être contradictoires.

 

 

 

 

 

 

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