fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce
1 Janvier 2017
une belle contribution à tous ceux qui demandent de l'humain d'abord aux médecins,
et ils sont nombreux dans un temps où trop de médecins sont devenus des mécaniciens du corps, technocrates peu sensibilisés à l'humain.
Oui bien sûr, un médecin a besoin de vous connaître pour vous soigner
Votre médecin habituel vous connaît peut-être, en tout cas vous pouvez lui parler.
Mais dans la plupart des cas, le médecin urgentiste ne vous connaît pas.
Quels sont les moyens à sa disposition pour remédier à cela ?
Deux sont prévus par la loi :
la personne de confiance qui peut vous représenter jusqu'à participer aux décisions médicales
les directives anticipées à deux volets :
vous dites comment vous vivez, comment vous voyez votre vie pour qu'elle vous soit acceptable
vous dites ce que vous acceptez et refusez du système de santé public (traitements, soins, opérations, diagnostics, etc. ) en fonction de l'espoir de survie possible (si vous étiez dans le coma, incapable de vous exprimer)
Tout citoyen responsable devrait écrire ses directives, nommer sa personne de confiance dès 18 ans, sans attendre l'accident, la maladie subite, après il est trop tard (voir les cas des jeunes vincent humbert, vincent lambert et d'autres)