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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

mourir en Suisse

https://www.letemps.ch/suisse/2017/01/04/lessor-tourisme-mort-inquiete-autorites-tessinoises

La polémique reprend contre ces associations suisses qui acceptent d'aider des étrangers pour leur mort demandée suite à des souffrances incurables. Certains voudraient que ce soit interdit. Ils ne se lassent pas de polémiquer et de faire déménager sans cesse ces associations.

 

Il faut savoir que la Suisse n'a pas de législation sur ce sujet, autre que la liberté du suicide, donc la liberté d'y aider, pourvu que cette aide soit sans intérêt particulier.

Interdiction en Suisse de l'euthanasie médicale pour ceux qui n'auraient plus leur conscience, donc inaptes à décider de leur vie et de leur mort.

 

Toutes ces associations facturent évidemment leurs frais :

  • consultations médicales tarif suisse,

  • entretien psychologique avec un professionnel

  • administration (frais de dossier, échange de courrier par rapport au dossier médical et la motivation)

  • et pour la plupart les frais de crémation en Suisse, plus pratique pour emporter ensuite les cendres chez soi, quoique les associations proposent un dépôt des cendres en Suisse, là où la personne l'a demandé.

Ce qui fait un montant d'environ 10000€

Elles facturent un peu plus pour les personnes pouvant payer, de telle sorte qu'elles puissent apporter une aide à ceux qui ont des problèmes financiers auxquels elles peuvent alors faire un rabais.

S'y ajoutent pour la personne et les accompagnants les frais d'au moins 3 jours de séjour en Suisse (hôtel, restaurant) puisque rien ne peut être décidé avant confrontation sur place avec les professionnels, le décès déclaré à l'avance à la police étant filmé et ce film étant immédiatement contrôlé par la police suisse, convoquée vers midi.

Donc évidemment c'est assez cher, et seuls certains peuvent se le payer.

 

C'est pour cela que nous réclamons en France la permission d'aider au suicide dans les conditions de la Suisse : pas d'intérêt au suicide, suicide liberté de chacun, mort demandée suite à des souffrances incurables, contrôle des autorités après la mort pour vérifier que les conditions ont bien été remplies.

Voir AAVIVRE … sa fin de vie.

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