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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

attaque en règle des ultra cathos contre la possibilité d’interruption de vie volontaire, nommée suicide assisté ou euthanasie, c’est la même chose dans l’intention, si ce n’est dans l’acte. ils déforment le sens des mots

http://www.bvoltaire.fr/lethique-tres-ethique-etats-generaux-de-bioethique/

« Le pauvre monsieur Jean-Luc Romero, président de l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité), va être ennuyé. Il est pour le suicide assisté et pour l’euthanasie, mais il lui faudra choisir entre les deux : ce choix est mutuellement exclusif. Mais il est aussi singulièrement restreint, puisque ceux qui sont hostiles à l’euthanasie ou au suicide assisté ne peuvent pas exprimer leur opinion. »

M Romero (que je ne soutiens pas à cause de sa personnalité et de sa gestion de l’admd) représente environ 70000 adhérents, et d’autres associations travaillent dans le même sens : « Ultime Liberté » et « AAVIVRE … sa fin de vie ».

Sans compter les associations laïques qui sont toutes favorables à la liberté de l’individu quant à sa vie et sa mort, et défavorable à une fin de vie de souffrances qui traînent.

Les pétitions de Marie Godard et de Nathalie Debernardi recueillent déjà près de 270 000 signatures.

La plupart des français n’acceptent plus de souffrir pour mourir.

Ils veulent que la médecine les aide si la souffrance tant morale que physique doit précéder la mort.

Certains pensent que la sédation continue qui laisse mourir en quelques jours est trop lente et ils préfèrent une mort volontaire et très rapide.

Ils n’ont pas une totale confiance dans le fait qu’être endormi supprime toute souffrance.

LA LOI QUE LES FRANÇAIS DEMANDE EST UNE LOI DE LIBERTÉ :

  • que ceux qui choisissent la mort volontaire aidée, accompagnée ne se voient pas contraints de souffrir ou d’aller mourir en Suisse pour 7000 € environ, ou de se suicider seul.e comme ils le peuvent, trop tôt, avec un risque de ratage.

  • Cela n’empêchera nullement ceux qui préfèrent ne pas décider de mourir volontairement , de préférer la mort avec souffrances, ou souffrances atténuées par la sédation continue ou partielle, et de se voit suivi.e.s.

Comme pour l’avortement, le médecin qui refusera de participer à cet acte laissera sa place à un collègue qui voudra bien accompagner le patient dans sa demande. On ne demandera pas à un médecin d’agir contre sa conscience.

LES LOIS PRÉCÉDENTES ONT ÉTÉ VOTÉE À L’UNANIMITÉ OU PRESQUE,

CE QUI PROUVE QU’ELLES SONT MAUVAISES :

AUCUNE LOI N’EST VOTÉE AUTREMENT QU’À LA MAJORITÉ, POUR TOUS LES AUTRES FAITS.

On a voulu contenter tout le monde, ce qui fait que personne n’est content !

IL FAUT CHANGER CETTE LOI         

ET

ACCEPTER UNE LOI VOTÉE À LA MAJORITÉ ET PAS À L'UNANIMITÉ!

 

SENS DES MOTS :

euthanasie et suicide assisté sont tous deux des interruptions volontaires de vie, ou IVV,

la même intention, si ce n'est pas le même acte.

QUI EST LA PERSONNE SUSCEPTIBLE D’ÊTRE ACCEPTÉE pour une demande d’aide médicalisée pour sa mort volontaire (= suicide) ?

Elle doit être en « fin de vie », pas nécessairement en agonie, souffrir moralement sinon physiquement de son état , être incurable en l’état actuel des connaissances, et sa demande doit être réfléchie et réitérée.

SUICIDE ASSISTE MEDICALEMENT (ou accompagné)  :

un médecin fournit au demandeur de mort volontaire les drogues utiles à une mort douce et presque instantanée, qui les prend seul.

EUTHANASIE MEDICALISEE :

la même chose : le médecin fournit la drogue utile mais il est obligé de l’injecter car la personne ne peut plus agir seule.

Le geste médical est actif, alors que pour un suicide accompagné ; le geste médical est passif

 

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