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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

obliger d'aller mourir en Suisse... pour mourir selon son choix: un australien interpelle les medias

https://www.lematin.ch/suisse/Il-vient-mourir-en-Suisse-et-force-son-pays-a-reflechir/story/25497793

extraits :

Le destin de Troy Thornton émeut et agite l’Australie.

Cet ancien pompier de Melbourne est venu la semaine dernière en Suisse pour mourir selon son choix.

Troy Thornton avait voulu médiatiser son dernier voyage pour que l’Australie questionne ses lois sur l’assistance au suicide.

Il vivait pourtant dans l’État de Victoria, le plus «ouvert» en la matière. État qui vient d’adopter une loi sur le sujet, qui entrera bientôt en vigueur. Mais elle est trop restrictive pour son cas.

Obligation de décéder avant un an

mais qui peut le savoir ??? personne…

L’Australien souffrait d’atrophie multisytématisée, une maladie neurodégénérative.

Or le règlement de son État précise que pour avoir droit à un suicide assisté il faut souffrir d’une maladie incurable. C’est son cas. Mais deux médecins doivent aussi attester du caractère terminal de la maladie, en avançant que la personne atteinte décédera dans les douze mois…

Pour Troy Thornton c’était impossible à affirmer.

Troy Thornton souhaitait partir chez lui, à Melbourne, accompagné de ses proches, de sa famille. Avec son fils Jack, 17 ans et sa fille Laura, 14 ans, à ses côtés. Mais c’était impossible. La semaine dernière, il a donc expliqué sa démarche aux médias australiens :

……….

«D’abord vous ne pouvez plus nager, puis plus courir, marcher, taper dans un ballon avec vos enfants, vous ne pouvez plus surfer, conduire. Finalement, ça prend votre carrière.

Et vous finissez par être un légume.»

Et de plaider: «quand il s’agit de notre vie, nous devrions avoir le contrôle, nous devrions pouvoir choisir.»

……….

ses proches espèrent que son cas engendrera un débat sur le suicide assisté en Australie.

 

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