Cette incertitude a dû causer à Mme Gross une angoisse considérable.
Parallèlement, la Cour ne se prononce pas sur la question de savoir si la requérante aurait dû être autorisée à obtenir une dose mortelle de médicament pour mettre fin à ses jours.
voir les détails sur le site "ultimeliberte.fr"
encore un problème de la médecine allopathique (seule médecine officiellement reconnue en Occident):
vous ne souffrez d'aucune pathologie clinique.... donc vous n'êtes pas "malade" au sens de la maladie allopathique ....
êtes-vous pour autant en bonne santé?
eh bien non!!! et ce n'est pas moi qui le dit, mais l'OMS et la convention européenne des droits de l'Homme... :
"la santé est un état de complet bien être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité"
peut-on améliorer votre santé? ... pas sûr... et même improbable lorsque la mauvaise santé est due au vieillissement insidieux, qui diminue toutes les capacités, sans retour possible...
alors ne doit-on pas aider une telle personne, sûre de sa volonté, en toute liberté, à se suicider par des moyens doux (s'endormir sans se réveiller)?
pourquoi la société veut-elle lui imposer les seuls moyens violents à sa disposition pour ce faire?
le suicide serait-il à nouveau interdit? comme au temps de l'Eglise Romaine toute puissante?... bizarre...