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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

la fin de la vie a été récupérée par la médecine officielle, alors il faut légiférer pour que les citoyens soient respectés par la loi de santé

http://professeur.bernard.lebeau.over-blog.com/2018/06/reponse-a-corine-pelluchon.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

Le journal Le Monde publie ce jour une affirmation de la philosophe Corine Pelluchon:

" Aucune loi ne peut définir une bonne mort".

Le rôle des légistes n'est pas de définir. Il est d'encadrer par des textes les décisions sociétales.

Depuis 2005, la loi française a décidé de réglementer l'aide à la fin de vie. ..............………..

Contrairement à ce qu'écrit l'auteure, cela est possible ……………...

Le rôle du médecin est d'écouter les patients.

J’ajouterai :

de soulager les souffrances par tous les moyens, y compris par la mort lorsqu’elle est réclamée de façon réitérée et que les souffrances sont incurables.

Car le problème vient de ce que la fin de la vie a été récupérée par la médecine officielle,

qui se targue de toujours mieux « soigner » ce qui ne veut pas dire « guérir », et veut faire croire qu’elle peut soulager toutes les souffrances morales et physiques ce qui est faux.

On ne peut plus guère mourir sans les médecins officielles, qu’on nous oblige à consulter par cette loi de non assistance à personne « en danger » qui ne distingue pas la fuite devant un accident heureusement condamnée de la demande raisonnée d’une personne qui va mourir et pour laquelle le danger est de voir ses souffrances prolongées, pour laquelle la mort est le repos, la délivrance tant souhaitée.

L'encadrement légal de ses décisions est devenu une nécessité mais, par rapport à de nombreux pays plus avancés que la France, notre pays n'est pas encore doté d'une légalisation de l'aide à la fin de vie active et du suicide assisté.

Il faut satisfaire la très grande majorité des Français en améliorant les textes actuels, sans négliger l'importance du contrôle de l'acte médical.

Puisque la loi nous oblige à passer par la médecine officielle,

il est normal que la loi dise clairement ce qui est permis et interdit aux médecins habilités avec leur « science » qui laisse de nombreuses inconnues (science humaine par excellence, art...):

évidemment, il est toujours interdit de tuer (contre l’avis de l’intéressé.e)

mais on doit permettre en fin de vie une aide humanitaire à ceux qui veulent mourir un peu plus vite que la science ne le permettrait, pour soulager leurs souffrances tant morales que physiques (les souffrances morales sont les pires et elles sont encore plus incurables, d’ailleurs le plus souvent négligées par la science qui ne sait pas trop quoi faire devant elles).


 


 

 

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