25 Octobre 2015
Si vous ne voulez pas qu'on prolonge votre vie par des machines, au delà du raisonnable, il est essentiel de le préciser :
PRECISEZ: « PAS DE branchements à des MACHINES lorsque je vais mourir, hydratation et autres...
TOUTES LES MACHINES ONT ETE INVENTEES POUR PROLONGER LA VIE.
Je veux mourir naturellement sans être branché à des tuyaux divers sous prétexte de mieux-être, alors que je sais que cela prolonge la vie, donc l'agonie.
Vous mêmes, que voulez-vous ?
LE SEUL MIEUX-ÊTRE QUE DES MÉDECINS PEUVENT M'APPORTER pour ne pas souffrir d'agonie douloureuse, et/ou de souffrance morale de me voir devenu un « légume », grabataire et incapable de communiquer, C'EST LA SÉDATION TERMINALE, LA PLUS RAPIDE POSSIBLE,
NE VOTEZ PLUS POUR CES PEUREUX QUI S'OPPOSENT À LA LAICITÉ DE NOTRE RÉPUBLIQUE, QUI SOUMETTENT NOS LOIS AUX MONDES « CROYANTS », IRRAISONNÉS, qu'il s'agisse de croyances aux religions ou à une science déifiée qui feraient des miracles.
ILS LAISSENT TOUT LEUR POUVOIR SUR NOS VIES AUX MÉDECINS : Les medecins gardent la main mise sur nos vies : ils peuvent refuser de nous suivre dans des volontes qui leur deplaisent personnellement.
Citations extraites du site très catholique, pro-vie :
http://www.alliancevita.org/2015/10/loi-fin-de-vie-mieux-encadree-par-la-commission-des-affaires-sociales-du-senat/
La commission des affaires sociales du sénat a remodelé le texte à voter :
Elle affirme avoir cherché « à atteindre LE PLUS LARGE CONSENSUS POSSIBLE » et à « PRÉSERVER LE MEILLEUR ÉQUILIBRE POSSIBLE ENTRE LES DROITS DES PATIENTS ET LES DEVOIRS DE SOIGNANTS », …
Article 3 la « sédation profonde et continue jusqu’au décès » est réservée aux personnes malades en fin de vie, dont le pronostic vital est engagé à court terme et qui présentent une souffrance réfractaire à tout autre traitement.
Ces conditions sont censées atténuer les risques de dérive d’euthanasie ou de suicide assisté.
« la nutrition et l’hydratation artificielles constituent un traitement » est supprimée,
au profit de :
« l’hydratation artificielle constitue un soin qui PEUT être maintenu jusqu’au décès ».
Concernant LES DIRECTIVES ANTICIPÉES, LE MÉDECIN GARDE SA LIBERTÉ D’APPRÉCIATION en cas d’urgence vitale ou si la « situation médicale ne correspond pas aux circonstances visées par ces directives ».